canis lupus

arc04 a écrit:

arc04 a écrit:

jeremdu38 a écrit:

Dragoon a écrit:83 loups de tués sur les 90 (100) possibles alors qu'on est début septembre soit un peu plus de 10 par mois.
Tout le monde dit que les loups sont intelligents. S'ils le sont vraiment et je n'en doute pas, ces prélèvements sont aussi la preuve qu'il y en a de partout et certainement plus qu'on le pense...

+1
C'est le meme cas de figure que finir son plan de chasse chevreuils en novembre sans avoir "tapé" dedans. Pas assez d'attribution par rapport aux effectifs.
Dans ce cas la, la solution est simple: augmenter les prélèvements en donnant plus de bracelets.
Et la pour le loup au lieu d'augmenter le plafond comme il peut le faire, l'etat suspend les prélèvements. C'est tout simplement aberrant

Je ne vois pas ce qui est aberrant ?
Péter 7 loups d'ici la démontagnado ça n'a rien illusoire quand il s'en est tué 5 la même semaine.
Donc trés logiquement la rallonge de quota sera débloquée d'ici fin octobre.
Le seul doute a avoir est sur la date précise.

Et c'est qui qu'avait raison ???

Hum ???
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/deja-90-loups-abattus-en-2019-le-plafond-releve-a-100-20190912

Bsr,

Effectivement le plafond a été relevé.
Mais cela ne change pas le fait que ce quota (90 ou 100 bêtes) semble être en décalage avec les populations réelles de loups.

Alors il faut faire comme pour les chevreuils ???





Oups ! j'ai rien dit.













L'année dernière pour 50 loups "légaux" on estimait ~150 en fausse....

jeremdu38 a écrit:
Bsr,

Effectivement le plafond a été relevé.
Mais cela ne change pas le fait que ce quota (90 ou 100 bêtes) semble être en décalage avec les populations réelles de loups.

Deux possibilités,
- Soit on a des personnes ultra compétentes dans le loup ce qui explique qu'ils n'aient "pas trop de mal à en tuer".
- Soit il y en a effectivement beaucoup plus que ce que l'on nous dit, ce qui explique qu'ils aient plus de "facilités" à en trouver et à en tirer.

Vous remarquerez les guillemets dans mes phrases précédentes

Les 2 mon général !

On n'est pas des manches et y en a un bon peu !

lol

Dragoon a écrit:

jeremdu38 a écrit:
Bsr,

Effectivement le plafond a été relevé.
Mais cela ne change pas le fait que ce quota (90 ou 100 bêtes) semble être en décalage avec les populations réelles de loups.

Deux possibilités,
- Soit on a des personnes ultra compétentes dans le loup ce qui explique qu'ils n'aient "pas trop de mal à en tuer".
- Soit il y en a effectivement beaucoup plus que ce que l'on nous dit, ce qui explique qu'ils aient plus de "facilités" à en trouver et à en tirer.

Vous remarquerez  les guillemets dans mes phrases précédentes

Si mes souvenirs sont bons, il me semble qu'il y a quelques années le préfet d'un département des alpes du sud (Alpes Maritimes je crois) voulait faire venir des "trappeurs" d’Amérique du nord car on avait beaucoup de mal à réaliser les prélèvements sur loup en France.
Visiblement la situation à bien changer aujourd'hui, comme tu dis ils ont du devenir vachement bon les mecs (et un peu plus d'animaux sur le terrain ça aide un peu...)

C'est pas ça, on avait fait venir un trappeur à grand tapage dans la presse pour faire des reprises afin d'équiper des loups de GPS.
Seulement les ayathollas du ministère ont refusé qu'il emploie les pièges américains qu'il avait emporté, au motif qu'un beslile ou un billiard faisaient aussi bien.
Résultat il s'est promené aux frais de la princesse et il en a jamais pris un seul !

arc04 a écrit:C'est pas ça, on avait fait venir un trappeur à grand tapage dans la presse pour faire des reprises afin d'équiper des loups de GPS.
Seulement les ayathollas du ministère ont refusé qu'il emploie les pièges américains qu'il avait emporté, au motif qu'un beslile ou un billiard faisaient aussi bien.
Résultat il s'est promené aux frais de la princesse et il en a jamais pris un seul !

arc04 a écrit:C'est pas ça, on avait fait venir un trappeur à grand tapage dans la presse pour faire des reprises afin d'équiper des loups de GPS.
Seulement les ayathollas du ministère ont refusé qu'il emploie les pièges américains qu'il avait emporté, au motif qu'un beslile ou un billiard faisaient aussi bien.
Résultat il s'est promené aux frais de la princesse et il en a jamais pris un seul !

Bsr,

Non je parlais de ça:
"Confronté à plusieurs attaques de troupeaux attribuées au loup dans son département, le préfet du Var vient de lancer un avis de recherche d’un genre nouveau pour traquer le canidé. En effet, il se dit prêt à faire appel à «des gens spécialisés, pourquoi pas en Amérique du Nord ou en Europe de l'Est», rapporte le journal Var Matin. «A Canjuers [Var], nous avons organisé une battue avec 150 chasseurs en février dernier, qui n'a donné aucun résultat. En France, personne ne sait chasser le loup»"
Voici les liens:
http://www.journaldelenvironnement.net/article/prefet-cherche-trappeur-lupin-efficace-a-l-etranger,35609

https://www.bfmtv.com/planete/var-prefet-veut-recruter-chasseurs-loup-a-letranger-555480.html

https://www.nicematin.com/faits-divers/le-prefet-du-var-veut-recruter-des-chasseurs-de-loups-a-l-etranger-335146

Toutes mes excuses il s'agit du préfet du Var et non des A-M et il ne prononce pas le mot trappeur d’où la confusion avec l'histoire dont tu parles qui est plus ancienne je crois.

Ah, oui, c'était de faire venir équipage et meute spécialisés dans la voie du loup...
De la mousse, de la mousse.....

https://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2019/10/01/loup-entre-pascale-boyer-deputee-gap-et-les-syndicats-agricoles-le-dialogue-est-rompu

Le réveil, Lozère.

Les attaques répétées du loup mettent la profession en colère Avec une population de loups estimée à 530 individus, l'espèce Canis lupus a dépassé le seuil de viabilité démographique fixé à 500 loups. Depuis 2008, le nombre d'animaux d'élevage prédatés est en constante progression, pour atteindre plus de 12 000 victimes en 2018.


Claude Font, éleveur en Haute-Loire. Les étés se suivent sans que la situation des éleveurs ne s'améliore face aux dégâts provoqués par le loup. Au cours de l'été, la prédation sur des ovins, des caprins, voire des veaux ou génisses, a généré une grande tension chez les éleveurs exposés. À la fin août 2019, selon les chiffres les plus récents que nous avons pu recueillir, le nombre d'animaux prédatés du loups s'élève à 3406 victimes indemnisées et 4 872 victimes constatées. « C'est la première année où nous observons une légère baisse des victimes de la prédation, explique Claude Font, élu de la Fédération nationale ovine (FNO) en charge du dossier loup. Nous estimons que les tirs de défense ont joué un rôle dans ce premier recul, mais ces chiffres sont encore bien trop élevés. »
Situation tendue aux Écrins
Pour la région Auvergne-Rhône
Alpes, à la fin août, on compte 1 464 victimes constatées, et à l'inverse de la tendance nationale, le nombre de victimes constatées est plus important qu'en 2018. Sur le mois de septembre, le loup a également fait de nombreuses victimes dans les Savoie et en Isère.
Pourtant, ce sont les éleveurs des Alpes-de-Haute-Provence où l'on enregistre 500 victimes indemnisées à la fin août 2019, qui ont allumé la mèche face à une recrudescence de la prédation, notamment dans le parc national des Écrins. La situation à l'intérieur du parc est très tendue, car face à la prédation, il est interdit de réaliser des tirs de quelque nature que ce soit, comme dans tous les parcs nationaux français, à l'exception de celui des Cévennes. « À l'intérieur des parcs nationaux, il existe des zones où la prédation du loup est importante, et les éleveurs n'ont pas le droit de défendre leur troupeau, c'est le cas dans le parc national des Écrins, explique Claude Font. Nous avons réaffirmé le 16 septembre lors d ’une réun- ion du groupe loup autour du préfet coordonnateur à Lyon, notre volonté d'obtenir des tirs de défense renforcés partout sur le territoire national, ce qui inclut les parcs nationaux. »
Jusqu'à cent loups détruits en 2019
Un premier pas a été fait pour calmer la tension par le préfet coordonna
teur le vendredi 13 septembre, qui a décidé de relever le plafond de prélèvement de loups de 2 %, soit dix animaux, pour 2019 portant à 100 le plafond total de loups pouvant être détruits. Le précédent plafond de 17 % de la population lupine, permettant le prélèvement de 90 loups sur les 530 estimés par l'ONCFS, a été atteint le 12 septembre. Claude Font rappelle que sur les 90 loups tués, « 86 l'ont été lors de tirs de défense et quatre seulement par un tir de prélèvement. Cela montre que nous sommes dans le vrai en ne cherchant pas à réguler le loup, mais à défendre nos troupeaux. »
Lors du groupe loup du 16septembre, « le préfet coordonnateur a ouvert la porte à l'autorisation de tirs de défense simple à l'intérieur des parcs nationaux, souligne l'éleveur de Haute-Loire , mais nos espoirs ont été refroidis par l'opposition ferme sur la question du représentant du ministère de la Transition écologique. Nous attendons donc un arbitrage politique du Premier ministre pour pouvoir continuer sur tout le territoire national, y compris à l'intérieur des parcs nationaux, les tirs de défense renforcée – qui sont les plus efficaces. Les tirs de défense doivent réapprendre au loup le danger que représente la proximité des troupeaux et des hommes, car le loup est un animal intelligent qui transmet les informations au sein de la meute. Nous faisons ce pari, qui est étayé par des travaux de l'Inra. Autoriser par

exemple les tirs de défense au sein des parcs nationaux, ne signifie pas entraîner la mort du loup, mais c'est lui apprendre à garder ses distances. »
Des mesures du plan loup toujours dénoncées
Si le relèvement du plafond de loup prélevable est un aspect du plan loup salué par la profession, la question
de la conditionnalité des indemnisations des victimes de prédation est toujours dénoncée par les éleveurs. « Nous dénonçons par exemple le fait que les indemnisations suite à des pertes d'animaux dues au loup sont considérées comme des aides directes par l'Union européenne. Les éleveurs ne choisissent pas d'être prédatés, ils en sont victimes, ils subissent un préjudice sur leur revenu, sur leur vie de famille, sur leur performance. Ils doivent mettre en place des mesures de protection qu'ils financent à hauteur de 20 %. » Malgré l'opposition des professionnels, la conditionnalité des indemnisations s'appliquera dès le 1er janvier 2020. Pour y faire face, la profession travaille sur la notion de non-protégea
bilité, une possibilité ouverte dans le nouveau plan loup. « Il existe des situations d'élevage où les mesures de protection ne peuvent pas être mises en place, détaille Claude Font. Cela peut être lié à la topographie, à des parcelles en forte pente, au milieu des bois ou très embroussaillées, à un nombre de lots d'animaux trop nombreux à protéger, etc. Dans ces situations, les éleveurs pourront prétendre à une indemnisation même si le troupeau n'est pas protégé. »Reste que pour Claude Font, le loup est aujourd'hui d'abord un sujet « politique », et qu'il faut obtenir sur chaque question un arbitrage favorable aux plus hautes sphères de l'État.

SITUATION CANTALIENNE Une bataille de retard

Huit attaques en huit jours : au Vaulmier, à Mandailles (4), Saint-Paul-de-Salers, Neussargues en-Pinatelle, Saint-Étienne-de-Chomeil qui ont fait 36 victimes dont un bovin, et 16 animaux blessés. Suite au constat de l’ONCFS(1), les expertises sont en cours.
À ce jour, sur l’année 2019, 54 constats ont été réalisés recensant 151 animaux morts, 41 blessés. Dans 15 cas, la conclusion est “loup non exlu”, 27 constats sont en attente de conclusion. “C’est en train de complètement exploser”, alerte Didier
Fournier pour qui c’est maintenant qu’il faut agir pour empêcher la prolifération du loup dont il est persuadé qu’il n’est plus seul dans le Cantal. L’accélération des prédations le laisse à penser que ce sont des louveteaux qui sont en phase d’apprentissage avec un adulte. “À ce rythme, je ne donne pas deux ans pour qu’il n’y ait plus d’éleveurs ovins dans notre secteur. Avec le loup on a toujours un train de retard”, assure-t-il, mettant une nouvelle fois en garde ses collègues éleveurs bovins dont il regrette le manque de solidarité. “Les prochains, c’est eux !” (1) Office na
tional de la chasse et de la faune sauvage




Autunois: c’était bien un loup
SAÔNE-ET-LOIRE
À plusieurs reprises, des signalements, notamment dans l’Autunois (Lucenay-l’Évêque, Chissey-en-Morvan, Anost, Laizy…), ont suggéré la présence du loup en Saône-et-Loire. Le 9 mai dernier, celle-ci est avérée grâce à un cliché pris à la tombée de la nuit dans une forêt sur les hauteurs du village de Barnay, à une dizaine de kilomètres d’Autun. Le matin même, un éleveur découvre son troupeau de moutons décimé par une attaque. Alerté, un agent de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage de Saône-et-Loire se rend sur les lieux, fait les constats convenus dans la
procédure et laisse sur place l’un des cadavres, disposant aux abords un appareil photo se déclenchant au mouvement. La visualisation des images quelques
jours plus tard ne laissera aucune place au doute. Le soir même, le prédateur est revenu sur les lieux et s’est fait “flasher”. Il sera formellement identifié par les experts comme étant un loup. C’est la première fois que sa présence est officiellement avérée en Saône-et-Loire depuis la dernière capture d’animal connue…en1920

+ 100 000, Moriceau je t'aime!

La montagne.Cantal.


« Protection du loup dans les parcs et destruction ailleurs »


Les éleveurs thiézacois Hugo Teylouni et son épouse on tinvité le professeur Jean-Marc Moriceau, auteur d'ouvrages dédiés au loup, pour une conférence.
Intelligent, malin, capable de toutes les adaptations et super-prédateur (après l'homme), « le loup n'a pas sa place dans les régions vouées au pastoralisme». Enfonçant le clou,le spécialiste parle d'un « mensonge d'État »pour assurer sa protection. Il estime
que considérer le loup comme un animal nécessaire à la bio diversité est « une idée de riches, oublieuse de la pénibilité du travail fourni par les éleveurs, très méprisante pour les populations paysannes et un manque flagrant de reconnaissance de la profession ».
Il s'interroge aussi sur la dangerosité pour les promeneurs et des chiens censés garder les troupeaux. Pour lui, le loup déjouera toujours tous les
moyens de protection mis en place. Quant aux indemnités payées, suite aux prédations attribuées au loup, elles ne couvrent pas le préjudice indirect subi (baisse de production laitière, angoisse des éleveurs).
Jean-Marc Moriceau n'entrevoit que deux solutions : « Protection absolue de la bête dans les parcs qui lui sont dédiés et destruction totale, partout ailleurs ».


Encore et toujours de l'argent public gâché en raison des méfaits de la bête immonde!
 
Les  guillemets sur "menace" et le point d'interrogation final du titre sont une indécence de plus à la face des éleveurs et du monde rural, pour qui la menace est une évidente réalité quotidienne et l'interrogation pas lieu d'être! Révisez votre ponctuation, Monsieur le journaleux, ou ayez l'honnêteté intellectuelle de faire savoir vos opinions de façon claire, cela évitera toute ambiguïté! Tenez vous en aux faits, on s'en contera! 


Le loup «menace» des espaces pastoraux ?
 
Par ailleurs, la Région Auvergne Rhône-Alpes indique avoir voté un plan pastoralisme lors de l'assemblée plénière de juin dernier. Doté de 2,445 millions d'euros par an, il viserait, selon la Région, à accompagner des actions et des projets visant à développer et pérenniser l'activité pastorale (200 000 euros par an), à mettre en œuvre des plans pastoraux
territoriaux (1,95 million d'euros par an) et à sauvegarder le pastoralisme face à la prédation (295000 euros par an) afin de «renforcer l'efficacité des prélèvements (soutien aux lieutenants de louveterie), mais aussi pour soutenir les éleveurs, pour soutenir les initiatives visant à faciliter l'activité pastorale dans le contexte de la prédation et enfin, pour soutenir
les logements rendus nécessaires par la prédation». La Région rappelle que «les espaces pastoraux couvrent 645 000 hectares, soit 10% du territoire de la Région. Cette agriculture est en revanche menacée par la présence du loup et de la prédation: les attaques et le nombre de victimes ont doublé en quatre ans».

Pour ceux qui connaisse a 500 mètres de l'hyper u de Bons en Chablais 74

Pas loin de chez moi il y a quelques jours.

yaute a écrit:

Pour ceux qui connaisse a 500 mètres de l'hyper u de Bons en Chablais 74

Il venait récupérer les cotes d'agneau de Nouvelle-Zélande bientôt périmées et lutter ainsi contre le gaspillage alimentaire! Hulot avait raison, cet animal sera le sauveur de la planète et de la biodiversité! 

patriceDT a écrit:Pas loin de chez moi il y a quelques jours.

Il lutte également contre l'illettrisme en s'attaquant aux ânes. Blanquer peut être rassuré d'avoir un pareil allié face au décrochage scolaire, les professeures des écoles également, fini le tricot de bonnets!

Bonjour@tous.

Probablement un âne malade.
Petites nouvelles de notre louve, disparue corps et biens: https://www.sudinfo.be/id143440/article/2019-09-27/triste-nouvelle-naya-la-louve-reperee-dans-le-limbourg-et-qui-etait-enceinte?nwltr=20190927_ENG_21H&m_i=he35arNy2bM9_gQR4KkEMiHbsMbNSIsCONOCFcmN4iLIKS2ZVieo267iO99aogyFXVpjwMQ_PZ76ICUVUadRIzWOIwhhh4&utm_source=20190927_ENG_21H&utm_medium=Mail&utm_campaign=SP+-+newsletters+2019-9-27&utm_content=&utm_term=&M_BT=498146221920

Nous avons aussi des emerdes avec les pro-loups: https://www.sudinfo.be/id144539/article/2019-10-03/une-prime-de-30000-euros-offerte-quiconque-retrouvera-les-braconniers-qui-ont

https://www.lameuse.be/449885/article/2019-10-04/la-ministre-celine-tellier-veut-un-plan-loup-en-wallonie?from_direct=true
Un quatrième loup vient d'atterrir toujours dans ce même camp militaire ! Bizarre, vous avez dit bizarre.

Stéphane

https://www.francebleu.fr/infos/environnement/y-a-t-il-des-meutes-de-loups-en-lozere-1571061373

Que dire...

Bonsoir,
A tous ceux qui s'interessent à l'animal fétiche des bobos et autres doux réveurs il est peut être temps de rejoindre l'assoss ILOUPDEV basée dans le Vercors, 100 chemin de la Martelière 26420 St Julien en Vercors.

Cette assoss regroupe des hommes et femmes de tous horizons qui veulent combattre intelligemment l'implantation forcée de canis lupus et la destructon de tout un monde et mode vie: le pastoralisme. Les Fédés du 38 et du 26 sont engagées auprès de Frank Reynier le président d'ILOUPDEV.

Vous le savez tous parfaitement, aujourd'hui il faut pouvoir communiquer et toucher les responsables (ou irresponsables plutôt) nationaux pour faire bouger les choses. Le combat se déroule autant à Paris Strasbourg ou Bruxelles que sur les patures, chemins de randonnées ou adjudications de chasse. Pour celà il faut un peu de monnaie et nous ne sommes pas à 10€ près.
Alors n'hésitez pas à rejoindre l'assoss afin de l'aider dans son action. La fédé de l'Isère tout comme celle de la Drome encourage ses membres à le faire.
Des élus du secteur, maires inclus; osent braver les ordres de Paris, Bruxelles et des prefets sur le Vercors. Pour les soutenir il faut du nombre et du fric.

Le problème du loup va bien au delà de la chasse. Aujourd'hui il est l'arme employée par ceux qui veulent faire main basse sur les terres désertées par les pasteurs, bergers, troupeaux mais aussi chasseurs et randonneurs. Les enjeux dépassent largement la disparition des mouflons ou des cervidés. Derrière Canis Lupus se cachent des prédateurs plus dangereux: les financiers, les promoteurs. C'est un combat pour l'heritage de nos enfants.
Ci joint lien du mail fédé 38.



Si le loup vous interesse: un livre facile à lire et plein de références vérifiées, réelles et 100% fiables ainsi que de nombreux liens internationaux pourra vous permettre d'argumenter et expliquer à ceux qui ne savent pas et ne connaissent qu'une musique (les ayatollahs verts laissez tomber c'est comme parler de rock'n roll à un djihadiste): Les enjeux du pastoralisme face aux loups par Michel Revelin aux editions 7 plumes pour un prix modique de 17 euros

Le lien semble ne pas fonctionner

Je suis actuellement dans un petit village des Pyrénées orientales qui se nomme UR j'y suis allé pour la première fois à l'age de 6 mois jusque au jour où je suis allé en colonie. à
A 12/13 ansje suis alle en colonie de vacances a 3/4 km de la.
J'y ai passé des vacances formidables .
Aujourd'hui donc à 63ans j'y retourne pour la premiere fois.
Après avoir retrouvé qq copins j'ai apris que les ballades Seul avec mon chien vers tel ou tel coin.... c'est fini.
Soit tu tombe sur les loups soit tu tombe sur des patous et cela des environs de EGAT jusque vers l'Andorre.
Si tu n'es plus du coin tu vas droit vers des problèmes.

https://servimg.com/view/20130481/1

Je pense que ça marche