Plaidoyer pour un grenelle de la ruralité

https://webmail1c.orange.fr/webmail/fr_FR/download/DOWNLOAD_READ_PDF.html?IDMSG=44812&PJRANG=2&NAME=GRENELLE_AFACCC.pdf&FOLDER=INBOX
A faire circuler, la chasse et la ruralité sont attaqué de toute part, et il est temps de prendre notre destin en main, les chose commence a bouger et il va falloir serrer les coudes et être tous unis si on veut pratiquer notre passion dans le futur.
A+ Pascal Betelli

Le lien "Orange" ne fonctionne pas.

Servie par une abstention record, la formation politique Europe Ecologie-les Verts a remporté les municipales dans une cinquantaine de villes de toutes tailles, parfois à une très courte majorité de suffrages. En parallèle la Covid 19 a suscité un plus fort désir d’espaces et de nature chez nos concitoyens, permettant à la mouvance verte de se relancer sur le thème de l’écologie. Enfin l’écologie version kmers verts… Constats et perspectives.

Un scénario effrayant se dessine pour la ruralité
Les résultats des municipales 2020 confirment l’adhésion progressive d’une part croissante des populations urbaines aux thèses environnementales. Hélas, la sacralisation du bien-être animal, la volonté d’imposer un « modèle » végan dans notre relation à l’animal et, à ces motifs, le souhait d’interdire des activités rurales séculaires, constituent un courant de pensée qui radicalise le débat et le détourne de l’écologie environnementale dont personne ne réfute l’intérêt. Sociétalement, on ne peut que déplorer cette dérive animaliste dont les revendications pourraient projeter dans un scénario effrayant, tout un pan d’activités rurales en relation avec les animaux d’élevage et la faune sauvage.

Pour s’en convaincre rappelons d’abord la proposition de loi 3160, déposée le 30/06/2020 par Laetitia Roméro Dias, députée LREM de l’Essonne, relative à l’amélioration de la condition animale et à la lutte contre la maltraitance. Cette proposition prévoit entre autre "la fin de la souffrance animale dans les activités dites de loisir". La chasse activité de loisir ? Alors cherchez le cheval de Troie…

Citons ensuite la nomination de Barbara Pompili au ministère de l’Environnement. C’est peu dire qu’elle partage les thèses animalistes relatives à la chasse, au droit de l’animal, à l’élevage, à la corrida, aux animaux de compagnie, etc… Par curiosité, consultez sa fiche de notation, sur le site de L-214 : http://www.politique-animaux.fr/politiciens/
Elle y obtient un joli 16/20. C’est tout dire !

Citons enfin le Référendum d’Initiative Partagée (dont les modalités sont prévues par l’article 11 de la Constitution) sur la cause animale, lancé par Hugo Clément le 02 juillet dernier. Ce RIP, présenté comme une initiative citoyenne 2020 est soutenu entre autre par la LPO, la SPA, 30 millions d’amis, la fondation Bardot, le CIWF, etc… Les six mesures phares proposées sont : l'interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses traditionnelles, de l'élevage en cage, des élevages à fourrure, des spectacles avec animaux sauvages, la fin de l'élevage intensif et de l'expérimentation animale, quand cela est possible. Pour en savoir plus : https://referendumpourlesanimaux.fr.

Le lendemain, Willy Schraen, Président de la FNC, réagissait en interpellant nominativement, par courrier, chaque député et chaque sénateur sur les risques sociétaux et démocratiques que font peser cette démarche. Quelques jours après la Société de Vénerie communiquait à son tour via un texte recentrant le débat sur le respect de la différence et la préservation de la ruralité. Bravo, un grand bravo à ces deux initiatives !

Mesures liberticides et écologie punitive
Ce n’est pas seulement la vague des municipales mais bien l’ensemble des « avancées » successives de l’écologie politique qui risquent de provoquer un séisme vert dont les conséquences sociétales et environnementales seraient dramatiques ! Les impacts sur les activités traditionnelles comme la chasse, la pêche, mais aussi l’équitation, l’agriculture et l’élevage peuvent être destructeurs. L’écologie politique agrège des extrémismes de tous bords. Leur idéologie centrée sur la sacralisation de l’animal et son égalité à l’être humain se distille progressivement dans notre société occidentale et, par petits pas constants, formate une législation renversant progressivement les rapports que l’humanité entretient depuis qu’elle existe avec les animaux. Nous l’avons vu avec les 150 propositions de la convention citoyenne pour le climat. C’est l’avènement de textes réglementaires juridiquement contraignants dont le crime d’écocide en constitue une des illustrations. C’est aussi l’orientation sociétale vers le modèle végan en matière d’alimentation et de relations aux animaux. Sous la plume de Guillaume Roquette, l’éditorial du Figaro du 26 juin 2020 est consacré aux propositions de cette convention. Son titre : « Ecologie punitive ». Il débute ainsi : « … Les 150 citoyens tirés au sort pour élaborer un programme de lutte contre le réchauffement climatique étaient sûrement pleins de bonne volonté, mais le résultat de leurs travaux n’en est pas moins atterrant. On en retiendra un interminable catalogue de contraintes, d’obligations, d’interdictions, de sanctions et des taxes en tout genre. L’écologie punitive dans toute sa splendeur… ». Au fil de cet édito on peut lire « la convention citoyenne pour le climat a scrupuleusement fait sienne les thèses traditionnelles de l’écologie à la française…. En matière d’écologie, l’heure est à la repentance. Il faut mettre un genou à terre en demandant pardon d’exister… ». Est-ce ce modèle là que la société française veut adopter ? Il faut maintenant choisir entre créer des interdits ou défendre des libertés. A méditer.

2021 et 2022, années à risques élevés
Les chasseurs, pêcheurs, éleveurs et autres ruraux en ont-ils conscience ? Perçoivent-ils le danger imminent ? Sont-ils prêts à se mobiliser pour conserver leurs libertés fondamentales comme leur droit à une relation à l’animal et au sauvage différente de ce que les radicaux de l’écologie veulent imposer ? Sont ils prêts à orienter leurs suffrages pour faire barrage à ce péril vert, tant il conviendrait d’abandonner les traditionnels clivages gauche / droite au profit d’un report sur les candidats protégeant réellement nos activités et nos libertés traditionnelles ? L’avenir nous le dira mais chacun doit se préparer à cette réflexion. L’enjeu est de taille : préserver nos libertés, nos mode de vie, notre ruralité !

Le Grenelle de la ruralité
Cette vision réductrice et punitive de l’écologie comme ses déclinaisons réglementaires doivent être vigoureusement combattues avec de bons arguments, de bonnes méthodes, une activité exacerbée sur les réseaux sociaux et un lobbying puissant. Il s’agira alors de lancer le Grenelle de la ruralité dans l’objectif de contrer la tendance actuelle et de démontrer aux politiques de tous bords la force de ce nouvel ensemble fédéré. Il en va de la pérennité de ce qui est, pour beaucoup, un mode de vie !

Institutions cynégétiques et associations spécialisées : l’union sacrée !
Plus que jamais l’heure est au rassemblement. Plus que jamais les institutions cynégétiques et les associations spécialisées doivent faire montre d’union et de combativité politique, puisque tout se joue à ce niveau. Depuis juillet 2016 la nouvelle gouvernance de la Fédération Nationale des Chasseurs, portée par un Président dont le courage, le charisme et l’engagement ne sont plus à démontrer, constitue un atout essentiel. Lorsqu’ultérieurement, dans notre petit monde cynégétique, l’état d’urgence sera décrété, il ne pourra l’être que du navire-amiral et du porte-drapeau de la chasse française, pour mener ce qui s’annonce comme une lutte à outrance contre le dogmatisme des mouvements animalistes. La FACCC, les autres associations spécialisées et nos institutions cynégétiques doivent engager, dès à présent, la réflexion pour être prêtes au combat lorsque cela sera nécessaire.

Une question de survie
Cette guerre se gagnera sur le terrain politique et sur le terrain de l’opinion. Lobbying et communication offensive en constitueront le fer de lance. C’est une question de survie, en particulier pour l’élevage, les chasses traditionnelles et l’utilisation des chiens courants à tir comme à courre. Sur ce dernier point, faut-il rappeler que le Hunting Act, adopté en 2004 au Royaume Uni à l’issue d’une campagne menée entre autre par la League Against Cruels Sports, interdit toute poursuite par les chiens des mammifères sauvages et pas seulement l’exercice de la Vénerie… Tout comme The Protection of Wild Mammals Act promulgué en 2002 en Ecosse qui stipule que : « Commet une infraction quiconque chasse délibérément un mammifère sauvage avec un chien. » !

Nous pensons que le débat doit maintenant se tenir au niveau national FACCC, si les idées développées ci-dessus ont un sens pour tous. Chers adhérents d’AFACCC n’hésitez à partager ces propos et à en référer à vos responsables.


Eric Jakubowski (Président AFACCC43) et Hervé Cart (Adhérent AFACCC12 et Délégué régional Société de Vénerie)

chris01 a écrit:

vendéen a écrit:Le lien "Orange" ne fonctionne pas.

idem, il m'emmène sur ma propre boite.

Moi itou

+ 1... Le lien ne fonctionne pas... ?

https://www.chassons.com/chasse-en-france/faits-divers/plaidoyer-pour-un-grenelle-de-la-rualite/350285/

Le voilà. Mais avant cela faudrait peut-être faire le ménage dans nos rangs.

Ne vous inquiétez pas le grand dieu Willy vous a expliqué que le petit, très petit caporal était notre ami et l'ami de la ruralité et qu'il est à l'écoute de notre monde....

Merci à @pascal 07 et @patriceDT. Il y a du pain sur la planche avec tout ça. 🤨

Serons nous capables de nous mobiliser et de nous unir?
Malheuresement il y a tellement d'individualisme dans nos rangs que j'en doute

" Rien d'audacieux n'existe sans la désobéissance à des règles" Jean Cocteau.


Déjà appliqué, même si les résultats escomptés n'ont pas toujours été à la hauteur de mes espérances et qu'il faut savoir en payer le prix. Faites comme bon vous semble, personnellement je ne céderai plus sur rien, je ne concéderai plus rien, ma vie rurale m'appartient et c'est moi et moi seul qui désormais fixe les règles et je suis assez adulte et responsable pour m'imposer des contraintes et restrictions si le besoin s'en fait sentir.

Il va falloir se positionner politiquement rapidement afin de peser sur le debat de 2022, sans le son de nos attehtes et revendications nous sommes cuits

culombu2A a écrit:" Rien d'audacieux n'existe sans la désobéissance à des règles" Jean Cocteau.


Déjà appliqué, même si les résultats escomptés n'ont pas toujours été à la hauteur de mes espérances et qu'il faut savoir en payer le prix. Faites comme bon vous semble, personnellement je ne céderai plus sur rien, je ne concéderai plus rien, ma vie rurale m'appartient et c'est moi et moi seul qui désormais fixe les règles et je suis assez adulte et responsable pour m'imposer des contraintes et restrictions si le besoin s'en fait sentir.

+1
Perso maintenant je ne tolère plus rien, peut être a tort, mais j'en ai ras le pompon de c'est gus qui veulent faire la loi dans notre belle campagne.
Aller ils y passent quoi 10 week-ends par an?
Alors si cela les dérange de nous voire vivre à notre façon ben c'est simple qu'ils restent dans leurs béton!

A+
Jérôme

domdu79 a écrit:Il va falloir se positionner politiquement rapidement afin de peser sur le debat de 2022, sans le son de nos attehtes et revendications nous sommes cuits

Je ne revendique plus désormais, je ferai dans la continuité de ce qu'a été ma vie rurale jusqu'alors, leurs coups de menton, leurs injonctions, leurs interdictions je n'en ai cure.

Quand tu sais qu'ils font classer des arbres sans que le proprio soit au courant, c'est "débile".
J'ai eu le cas.
Un coup de tronçonneuse et il est déclassé en bout de 1m.
Le pire c'est qu'ils sont payés pour ca.

A+
Jérôme

Bonjour@tous.

Vous avez essayé le nain de Neuilly-sur-Seine, le tout mou de Tulle et maintenant le toyboy d'Amiens, ne vous reste plus que le pitbull d'Hénin-Beaumont.

Ils voguent tous au gré du meilleur vent porteur, pas de parole, pas d'honneur, pas de fierté et rien dans la culotte. Ils renieraient leurs mères s'il le fallait. Ils ne sont, en ce qui nous concerne, que les exécutants du bon vouloir des ong, des starlettes, des dandys poudrés, des chanteurs à deux kopecks et du showbiz qui n'ont d'existence que sur les réseaux et les émissions télés au raz du gazon.

La vénerie et les chasses traditionnelles sont en danger, derrière ce RIP il y a toutes les association intégriste, animaliste et végan. Soit on pense comme toi colombu et on la joue perso et la je peu te dire que toi peut être tu pourra continuer de chasser mais tes enfants ils liront des livres pour savoir ce que c'était que la chasse. Soit on nous attaque et on ce défend, et comme il y a plus que la chasse qui est attaqué, les agriculteur les éleveurs les bergers dans nos montagnes, le boucher et le poissonnier qui se fait défoncer son magasin.... On essaye de créer un mouvement qui aura suffisamment de poids pour, déjà pour expliquer au gens ou veulent en venir ses gens, et contrecarrer cette marée ecolo bobo citadine qui va nous tomber sur le coin de la figure aux prochaine élections. Ou on essaye de défendre nos valeurs ou alors on le laisse faire à ces gens. tu choisi quoi???
A+ Pascal

Si tu crois que je t'ai attendu, pour le collectif j'ai donné dans un autre domaine, cela a rapporté très peu, moi je sais ce que cela m'a couté. J'avoue que sur l'ile nous sommes privilégiés mais ne crois pas que je sois seul, on ne cédera plus un pouce de terrain. Discutez le bout de gras sur le continent, je respecte la démarche, nous on rentre en résistance et on rentrera dans le rang dans vingt ans, comme toujours hélas.

Bonjour,

je pense qu'organiser un Grenelle de la ruralité est dangereux car il risque de se solder par un équilibre entre les propositions des uns et les autres, et au final grignoter encore nos libertés de gestion, qu'il s'agisse de chasse, de pêche ou de ruralité, mais également de propriété.

Le texte indique que "cette guerre se gagnera sur le terrain politique et sur le terrain de l'opinion". J'adhère, mais j'y rajoute "... et sur le terrain judiciaire". Les lois actuelles nous donnent des devoirs, mais également des droits. Elles donnent à nos détracteurs des droits, mais également des devoirs ; nous respectons ces règles et ils les outrepassent fréquemment en toute impunité puisque non attaqués sur le plan judiciaire. Il faudrait ne rien laisser passer. Nous avons des instances représentatives qui doivent y veiller, et soutenir systématiquement les individus parmi nous qui sont individuellement attaqués.

Cordialement,

FF82

Bonjour@tous.

PÉTITION
BRUIT DE LA CAMPAGNE : QUE LES GENS PRENNENT LEURS RESPONSABILITÉS ET QU'ILS ASSUMENT LEURS DÉCISIONS ET LEURS ACTES.

https://www.mesopinions.com/petition/nature-environnement/bruit-campagne-gens-prennent-leurs-responsabilites/95974

Stéphane

1000 fois d'accord avec l'ami corse.

Mais j'admire ceux qui croient encore à la discussion et à la démocratie. Toutefois il faudrait d'abord définir ruralité. Un mot aujourd'hui vide de sens dans de nombreuses régions où les ruraux ne sont que les adversaires du vrai monde rural.
Ensuite dans le milieu agricole croyez vous qu'il y ait une pensée unique, croyez vous qu'un "rural" de la champagne berrichonne avec 500 hectares de céréales plantées en fonction des cours du marché international et des subvention euro ait les mêmes problèmes qu'un berger du Champsaur ou de Corse ou qu'un petit maraîchers du Val de Loire ou de la vallée de l'Arc...Croyez vous que les ruraux, agriculteurs spécialisés dans la fraise, l'asperge ou les fruits exploitant des travailleurs clandestins ou des équatoriens et salvadoriens sous loués à une agence intérim espagnole, à 20 euros par jour, dormant, dans des containers sans eau courante méritent le respect et que je me mouille (je parle pour moi) pour eux...Quand aux chasseurs sont ils tous respectables? Ceux qui tirent 1500 à 2000 grives/an vendues 3 à 4 euros pièces, et ceux qui font de même avec les bécasses...Alors pour une action politique il va falloir d'abord nettoyer devant notre porte. Et ne me dites pas que ce sont des minorités. Malheureusement ils y en a plus qu'on croit dans notre société où seul le pognon compte.
Quand à nos institutions que font elles vraiment à part ventiler comme des éoliennes. Renseignez vous sur les budgets engloutis en frais de fonctionnement, émoluments, campagnes de pub inutiles...Il parait que le petit caporal comme dit Culombu est l'ami du monde rural, des chasseurs et celui du Willy, les chasseurs dans une majorité le croient. Donc pas besoin de Grenelles. Le petit roitelet, Willy et Thierry vont régler le problème. Comme Sarko devait le faire après que St Josse ait appelé à voter pour lui.
Comme Culombu perso je suis entré en résistance, je ne compte sur personne et ne crois à aucune promesse. J'ai donné dans l'engagement...me suis usé et chaque jour qui passe le système m'a sodomisé plus profond.
Bon courage, place aux jeunes, mais ne révez pas trop car il n'y a rien de pire que de voir ses rêves se briser.

Non, faut pas rêver; la démocratie à la française a pour mauvaise habitude d'organiser des négociations, des grenelles, des consultations citoyennes sur cahiers de brouillon qui enfantent un petit caporal circus tour show des mairies, accompagné de deux ou trois aides de camp qui sont loin d'être des Maréchaux d'Empire (ce serait un comble et une offense à sa majesté l'horloger alpiniste), lorsqu'elle est acculée, dos au mur, les roupettes dans l'étau, Lutèce à feu et à sang et les sondages au fond du gouffre. La politique, car il est bien question des politiques appliquées ou qui seront appliquées pour la ruralité, n'est qu'une question de rapport de force; la discussion ne s'engage qu'avec les forts, ceux qui ont des leviers pour manœuvrer, ceux qui sont en capacité de créer des rapports de force, de faire basculer l'opinion, de taper si fort de la semelle le pavé parisien que les parquets élyséens se dérobent sous les pas du petit caporal. Cochons nous une seule de ces cases? Sommes nous en aptitude à nous rassembler dans toutes nos composantes? Notre colère aux  journaux télévisés de 20 heures fera -t elle basculée l'audience en défaveur de "plus belle la vie"?
Nous sommes une minorité écrasante et à ce titre nous serons écrasés dans l'indifférence la plus totale, à l'instar des indiens d'amazone, des chrétiens d'orient et tant d'autres, c'est la règle dans cette société à la dérive.

+1 Eric

Avec toutes ces anguilles qui nous gouvernent on arrivera à rien.
La présidentielle se joue en ville donc ou se trouve le gros des troupes des ces pseudos groupes de protections de la nature.
Comme faut pas les froisser ben c'est mort d'avance.
Vous pouvez faire autant de table ronde que vous le voulez, malgré la sympathie apparente des politiques présent on l'aura toujours dan le C*L.

Participé à des réunions pour essayé de faire bouger les choses j'ai donné et pour le résultat obtenu, ce fut à chaque fois décevant.
Certes les petits pats font les grandes avancés mais j'ai plus l'impression de reculer.

A+
Jérôme