Moment insolite durant vos actions de chasse!

ils vous ont tous bien eu (le faisan et le brocard)! C'est çà qui est bon!

ah ça oui, cela fait de bons souvenirs en tout cas

allez a moi il y a maintenant 3 ans pour l'ouverture générale je n’étais pas encore chasseur pas de permis donc accompagnateur le matin battues pas de sangliers chez nous mais quelques coup de carabines chez les voisins.donc l’après midi pour nous ça sera après midi pigeons et voila que j'entends du bruit derrière nous et je dit a mon père et a mon collègue vous entendez ??? et la qui descends de ce talut un petit marcassin encore bien rayer et la je me dit je rêve mais non c'est bien un marcassin!!!!! il s'approche de nous a moins de 30metres je n'y croit pas même pas peur ils était en train de grignoter un peu de mais en nous regardant comme ci ils était tout seul je pense que la chasse voisine a prélever la mère .samedi rendez vous de chasse ont expliquent tous ça aux collègues il ne veulent pas y croirent et l’après midi deux collègues viennent avec nous quand d'un seul coup ce bruit recommence et la je me dit ce n'est pas lui mais si encore lui les collègue n’en croyaient pas leur yeux mais malheureusement jamais revue ce petit marcassin

Salut Sonny, bien mignone cette histoire du marcassin , s'il se nourrit tout seul c'est deja bien car sans sa mere il est deboussolé est moins mefiant je suppose ! Mon histoire de marcassin m'a décu , c'etait en battue , un vieux viandart de 75 piges et abruti a la fois , j'entend le traqueur dire a haute voix , attention y a une mere avec ses petits ! sitot apres un coup de feu tout pres de moi ,Ah ca c'est le vieux , juste apres ca la mere d'environ 70 kg sort en trombe suivi de 7 rayés, merde le dernier se traine sur les pattes avant, De la j'ai crié pour arreter la battue et sous l'emotion j'ai traité le vieux de tout les noms d'oiseaux ! Depuis me dit plus bonjour ce con !

lui etait tout seul oui il grignoter le mais dont je pense qu'il a du sen sortir du moins j’espère

Dimanche dernier quand mon chien me fait un arrêt type plume (je pense à une bécasse ou à un merle au pire), mais qu'il ne remue pas la queue (lièvre ?) et qu'il me sort un keiler de 100kgs..

Que le posté loupe et que je vois s'éloigner en plaine de cul tout le long !

Mercredi dernier, sur une traque aux sangliers, j'étais à mon poste habituel :
au bord d'un petit abrupt d'une 10zaine de mètres, et face à moi, un beau versant pentu parsemé de gros rochers, "cades", genévriers, petits arbustes divers, donnant également sur ce petit abrupt.
La menée est puissante, venant de loin, passant d'une crête à l'autre, descendante, remontante dans ce paysage rocailleux de garrigue. Parfois inaudible, parfois tonitruante. Connaissant bien ce poste que j'ai créé, je me tiens sur mes gardes; quand les voix des chiens se font de plus en plus pressantes, j'ouvre grand les yeux, un renard sort avec un peu d'avance............
Je me dis, calme, ne tire pas, le sanglier est sûrement derrière. Le renard descend la pente face à moi, disparaît en bas, mais pas de sanglier et apparaissent les premiers chiens..., quand sur ma droite j'aperçois à une 30aine de mètres ce renard escaladant presque qu'à la verticale la paroie où je suis posté, puis il s'arrête, en équilibre.. les chiens tournent en rond en bas de la paroi plus gorgés que jamais, et lui tourne la tête et les regarde. Je n'en crois pas mes yeux, il est gonflé ce renard.. je monte la 9.3 à l'épaule et il tombe presque sur les chiens, qui fous de rage, l'ont pillé vertement.

Bravo Fox !

Merci Adrien

Bien joué Fox !

Merci carpet

Bravo,bien jouer FOX

aller je me lance , il y a déja quelque année éfectivemant j'avais 16 ans premiere année de chasse c'etais fin octobre ou la campagne tourangelle se teinte de merveilleuse couleur une légere brume carressais la plaine une belle journée en perspective .je suis acompagnè de ami pierot nous garrons nos mobilette ouvrons la remorque pour sortir les chiens (j'entend deja des rires mes oui a cette epoque cela se faisais ) et nous voila parti en plaine chasser le lievre
au bout de 2 heures pierot a tiré 3 lievres sans en arreter je lui demande de tenir mon fusil le temps que je soulage ma vessie ,a l'instant ou le premier jet de liquide touchas le sol un grand capucin ne trouvant pas la douche a sa convenance parti comme un fou pierot me lance mon fusil que je referme et j'envois les deux salves dans un geste de rotation presque milimetré
le lievre boule la tention retombe et c'est a se moment que je comprend que l'homme peut faire 2 chose a la fois comme par exemple tirer un lievre et se pisser dessus (pour la petite histoire c'étais mon premier jambus il pesait 11 livres)

Ah oui, nien joué.

Petite histoire de cette année , en chasse accompagné . Nous faisions les champs avec mon oncle puis une envie d'uri***r me viens . Je casse le fusil et le pose contre un arbre ,je v'ai au bord du ruisseau , et au moment de commencer , va savoir comment , j'ai "arroser" la tête de ce pauvre perdreau qui en s'envolant ma fait une peur bleu

Ah oui, je suis sûr que les lièvres tapis attendent d’entendre le bruit de la braguette pour se lever...
Dans le genre insolite...
C’était par un gris et venteux matin de novembre que j’avais décidé d’arpenter les « moors » qui recouvrent une partie de mon territoire de chasse à la recherche de ce gibier mythique qu'est le lagopède d’Ecosse ou « grouse » comme nous l’appelons ici. La nature de ce terrain est très agréable sous le pied au mois d’août, à l’ouverture du gibier mentionné ci-dessus, mais après le pluies diluviennes automnales, on a plus à faire à un géant tapis de mousse flottant au milieu d’îlots de bruyères... Une flaque anodine s’ouvre sous vos pas et vous voilà enfoncé jusqu’au genou dans cette soupe rouge et visqueuse...Enfin bref, la matinée allait de mal en pis : la pluie s’était mise de la partie et comme c’est souvent le cas ici, une pluie horizontale et glaciale qui parvient à se frayer un passage au travers des fermetures éclairs et des coûtures. Les grouses n’étaient pas de sortie, les faisans non plus, pas une cartouche de tirée et la voiture en vue à 3 ou 4 kilomètres mais cette fois-ci, nez au vent ! La progression est lente et je regarde plus souvent la pointe de mes croquenots afin d’éviter les gouttes de pluie qui me fouettent le visage à plus de 100km/h... Et alors que je lève les yeux pour m’assurer que je conserve mon cap, j’aperçois à une cinquantaine de mètres devant moi, une boule de poils marron et je pense tout de suite à un lièvre que d’ailleurs je compte bien épargner. Cependant, en m’approchant, je me rends compte qu’il s’agit alors d’un matou trop occupé à affûter un campagnol ou autre bestiole pour m’avoir repéré. Il faut dire que j’étais vraiment à contre-vent ! Je continue à m’approcher tant et si bien que je suis là, juste à deux pas derrière lui : il me montre son séant et ses belles manières et ne se doute de rien ! La situation est assez surprenante, je ne veux pas tuer la bestiole, même s’il a sans doute joué un rôle primordial dans ma bredouille mais je veux quand même le saluer à ma façon... Du coup, je baisse les canons de mon bon vieux Darne, lui glisse entre les pattes arrières et les relève vivement pour encourager le félin à une prouesse acrobatique. Et bien, chers amis, je n’ai pas été déçu ! Le greffier a bondi à la verticale sur un bon mètre, fait un volte-face aérien, le poil hérissé et le voilà de retour sur la terre ferme, deux fois plus gros qu’avant le décollage! Il crache et je me demande s’il n’est pas sur le point de m'attaquer ! De mon côté,les safaris ne m’ont jamais tenté et je n’ai pas eu dans ma carrière de chasseur, à affronter la charge d’un félin furieux, surtout au beau milieu d’un moor écossais ! Partagé entre le fou-rire et l’instinct de conservation, le Darne monte à l’épaule aussitôt et je recule en même temps de quelques pas, juste au cas où... Ce court interlude permit à notre vaillant matou de prendre littéralement ses pattes à son cou et de s’évanouir parmi les bruyères détrempées... Cette rencontre insolite dans la lande désolée et battue par les vents reste et restera encore pendant longtemps l’un des moments les plus comiques de mes annees de chasse ! La marche du retour à la voiture se termina en un clin d’oeil et la pluie battante ne parvint pas à effacer un sourire fendu jusqu’aux oreilles ; cette vieille chanson paillarde me revint même à la mémoire et je la chantai à tue-tête avec toute l’assurance que je n’offenserais personne quand bien même quelqu’un parvindrait à l’entendre car la traduction serait plutôt difficile pour un Ecossais...
»C’est la Java, Trou du cul du chat, etc... »

Allez bonne soirée à tous,

A mon tour ,
Nous etions au sanglier , j'etais en chasse acompagner , et 44 sanglier etais rentrer le matins dans notre bois , nous les avions pas tirer car sinon ils auraient fait demi tour . Alors avec mon accompagnateur nous avons laché les chien dans le ronciez et tout d'un coup , bim bam boum , environ 20-30 coup de carabine , on c'est dit ,ca y es , c'est tomber.... Alors nous avons rappelez les chiens et en appelant les postés , on a appris que cetait un simple chevreuil tirer mais manquer par tout le monde ... Autant vous dire qu'on ne rigolais pas vraiment car d'habitude on tente une balle sur un chevreuil mais pas une trentaine .....

Dimanche, ouvert anticipé dans mon ACCA secondaire, le matin, je tuais le premier renard de la saison, puis l'après midi nous rattaquons un autre maïs, tout à coup les chiens lancent, youpi ça descend sur moi ! quand tout à coup je vois le chien sortir à ma droite puis le lièvre à ma gauche dans la même fraction de seconde ! Surpris, ma première réaction ma fut de rire un bon coup !

vos histoires sont presque toutes plus passionnantes les unes que les autres, n’empêche qu'un lapin perché dans un arbre j'ai jamais vu, ça doit être beau a voir.
je voudrais savoir, combien avais vous déjà vu tirer de cartouches après 1 lièvre? moi le record vu c'est 15.

labourdaine a écrit:aller je me lance , il y a déja quelque année éfectivemant j'avais 16 ans premiere année de chasse c'etais fin octobre ou la campagne tourangelle se teinte de merveilleuse couleur une légere brume carressais la plaine une belle journée en perspective .je suis acompagnè de ami pierot nous garrons nos mobilette ouvrons  la remorque pour sortir les chiens (j'entend deja des rires mes oui a cette epoque cela se faisais ) et nous voila parti en plaine chasser le lievre
au bout de 2 heures pierot a tiré 3 lievres sans en arreter je lui demande de tenir mon fusil le temps que je soulage ma vessie ,a l'instant ou le premier jet de liquide touchas le sol un grand capucin ne trouvant pas la douche a sa convenance parti comme un fou pierot me lance mon fusil que je referme et j'envois les deux salves dans un geste de rotation presque milimetré
le lievre boule la tention retombe et c'est a se moment que je comprend que l'homme peut faire 2 chose a la fois comme par exemple tirer un lievre et se pisser dessus (pour la petite histoire c'étais mon premier jambus il pesait 11 livres)

Ca me rappelle qu'il est arrivé exactement la même chose à mon Père quand j'avais une douzaine d'années et que je l'accompagnais à la chasse.
Mais ce lièvre là je ne dirai pas qu'il court encore mais il à du vivre heureux encore quelques temps.

 

Hahaha, bien drôle ce topic.
Je vais donc vous en raconter une ou deux:

L'an dernier, dernière sortie bécasse avec le père. premier arrêt des deux setters après 15 minutes de chasse... ça sent bon! 3 belles se lèvent en même temps pimpampipam manquées! on continu, je passe par une ruisseau que je remonte en botte, fusil cassé, quand je vois la vieille à l'arrêt 30m plus loin et la bécasse qui décolle droit sur moi, pas le temps de réagir, j'épaules quand elle passe au dessus de moi, seul détail oublié le fusil était toujours cassé j'ai donc reçu les douilles par la gueule et la bécasse a du bien se marrer.
10 minutes plus tard je passes une clôture, me casse la gueule comme il se doit et rempli les canons de terre et je commences donc à le nettoyer avec une petite branche, quand les deux setters me passent à côté se bloquent à un mètre de moi et la bécasse qui me décolle par les pieds, juste eu le temps de la voir et de crier A TOI ... Mais rien !
Quand on est manguanes, y'a des jours où les chiens mériteraient de nous engueuler.

La poisse!

Alors pour moi , c'était la semaine dernière.1 er année de chasse et je suis en chasse accompagné avec mon père ! J'avais sa carabine (35 whelen ) et nous étions aux sangliers ! On va sur les mougers et on lâche les rapprocheurs ! Evidemment étant en 1er année de chasse je me précipite pas pour sortir la 35 :p ! On s'approche des mougers avec les chiens et les chiens commence a prendre ils trouvent la coulé et rentre dan un petit carré de fougère je cour attendre sur le côté et arme qu'à moitier ma 35 et mon père comme toujours m'engueule parce que je m'affole pour rien !^^ Mais au même moment les chiennes au ferme à 10 mètres au dessus 30 secondes de ferme et hop c'est parti ! J'entant tiré 3 coups au dessus ! sa redéssant et sa passe entre le gars a ma droite et moi.. armé lui aussi du carabine a branlette on avait 8 balles a nous deux ! 4 cochons !! Non de dieux ni une ni deux j'épaule j'envoie les 4 bastos et mon collègue aussi ! les mottes deux terres volés a côté des cochons ! Résultat 1 er tir de ma mover tireur de faite !

oula j'ai buger a la fin de mon histoire je reprend : Résultat 1er tir de ma carrière sur sanglier et un réputation de mover tireur de faite !