Un week-end chez Réré et Fréd.

Alors, comme promis, voici le très long récit de notre excellent week-end passé chez Réré, Fréd et leurs enfants...

Attention, avant de lire, sachez qu'il va vous falloir un long moment pour tout lire....

Tout commence donc vendredi par Pascal (Le Berrichon) qui nous retrouve à mon domicile sur les coups de 15H15.
On charge toutes les affaires, ainsi qu'Elios. On ne pourrait remettre une boite d'allumette dans le Zafira, tellement on l'a rempli (faut être prévoyant...)

Départ 15H30. Coup de fil à Réré "çà y est, on vient de décoller !"

La route se fait tranquillement, on averti Réré qu'on arrive au pays des poulets !!! (Je sais Régis, t'énerves pas... maintenant, je sais que c'est "La Dombe" )

A 19H45, on est accueilli par Réré, et toute sa petite famille. On rentre le Zaf dans la cours, et on entre faire connaissance et discuter autour d'une bouteille de champagne.
C'est tout bizarre, on a l'impression de se connaitre depuis bien longtemps.
La conversation se fait naturellement, c'est très agréable.

Réré nous prévient que le lendemain, départ 07H30 pour faire les pieds. On poursuit notre petite soirée autour d'un repas préparé par Fréd, toujours en discutant comme si on se connaissait de longue date.

On décharge le Zaf, et vers minuit, tout le monde est couché. (Pour ma part, je dors avec ma femme dans le célèbre lit où à dormi notre ami Bastoun.... )

SAMEDI Matin :

06H00, Réré passe par notre chambre, et, étant réveillé depuis un moment, je me lève quasi derrière lui. Pascal ne tardera pas à nous rejoindre.
Un café et des madeleines, on a l'impression que l'on est chez Réré depuis quelques jours et que nous sommes "comme chez nous".

07H30, Adrien (un rabatteur de l'équipe de chasse) passe au domicile de Réré. On fait connaissance autour d'un café, puis nous décollons.
Pascal fera équipe avec Adrien et Max, un teckel réputé pour faire le pied.
Quant à moi, je ferais équipe avec Réré, qui sachant mes "p'tits soucis" pour marcher, s'occupe d'un secteur relativement aisé.

On part sur notre secteur, retrouvons les endroits où Réré passe depuis quelques jours, afin de connaitre les entrées et sorties des bêtes noires.
Les premiers secteurs ne sont pas plus prometteurs que çà, mais, au "bois de mon père" (comme dit Réré), on trouve une rentrée (on peut pas se tromper, les pieds sont effacés tous les jours par Réré). Réré pense qu'il y a 2, 3 voire 4 animaux assez jolis.

On croise Pascal et Adrien qui s'occupaient d'un autre secteur et n'ont trouvé "qu'une" équipe de petits sangliers.
J'apprends qu'en fait, de nombreux chasseurs de l'équipe font le pied et s'occupent d'un secteur différent.

On prends la direction de la "cabane" (qui est en fait un très beau pavillon construit par l'équipe de chasse), on prends un café, d'autres chasseurs nous rejoignent ainsi que le président "Blaireau" (j'osais pas l'appeler ainsi) et son fils Nono. Tout le monde débat de ce qu'il serait possible d'attaquer l'après-midi.

Un chasseur dit avoir du travail sur "la plage à Bastoun". Du coup, je repars avec Réré et Blaireau pour voir un peu ce qu'il se passe du les bords de la rivière l'Ain.

Réré me fait traverser un petit bras d'eau sur son dos , car j'ai pas mis les bottes, mais des chaussures de marche et de guêtres....

Sur l'île, se trouve un biotope on ne peut mieux rêvé pour les sangliers...

Et là, je suis sur le cul, Blaireau et Réré regarde au milieu des cailloux, et arrivent à y voir "des pieds"..... Moi j'y vois "que dalle" ! Ensuite je verrais tout de même des traces de travail dans les cailloux.... c'est quand même une affaire de spécialistes... La société voisine chasse et nous entendons quelques coups de carabine...

Bref, retour à la "cabane", et il est décidé que le rendez-vous est donné à 13H30 et que sera attaqué le lieu dit "du chauffage" où Réré a trouvé les pieds... (on apprendra entre temps que 4 sangliers ont été vu à cet endroit, sur pieds, certainement dérangés par un chercheur de champignons)...

Retour chez Réré, où Fréd nous a préparé une jolie dinde.

SAMEDI Après-Midi:

Rendez-vous à la cabane pour la mise en place de la chasse…

Nous serons placés par Gilou, notre chef de ligne, sur une allée au milieu de l'enceinte traquée.
Nous sommes espacés d'une petite vingtaine de mètres. Il nous est indiqué que si des animaux se présentent dans le rabat, alors que la traque est éloignée, nous pouvons les tirer à une distance raisonnables.

Je vois parfaitement Gilou, qui est placé en dessous de moi, en bordure d'étang, Réjane, un autre posté, et Pascal qui sont au dessus de moi.

Le rabat commence, sans rien lever, et passe notre ligne... continue sa progression, et s'éloigne....
Deux coups de carabine claquent à des endroits différents, de l'autre côté d'une route très roulante...

Tout à coup (et c'est là que çà commence...), on entends tous quelque-chose qui s'approche, venant des arrières de la traque.... çà fait beaucoup de bruit, çà s'arrête quelques secondes, et çà se rapproche..... LES SANGLIERS !!!!

Ca rapproche, et à une trentaine de mètres, j'aperçois une tête de sanglier !!!!
Je regarde dans la lunette, le coeur bât à 10 000 à l'heure, c'est sûr, c'est les sangliers.
Je baisse la carabine, et ne fait plus un mouvement, je respire à peine...

Ca avance pour sauter entre moi et Réjane, mais çà se bloque à une petite quinzaine de mètres dans le rabat. C'est une belle laie qui fait 70 / 80 Kgs, qui se présente plein travers...
Un coup de tête en direction des postés placés au dessus de moi, et.... démarrage, demi-tour.... je lève la carabine, deux bêtes de 35 / 40 Kgs prennent le même chemin que la laie... Un coup claque, le 2ème coup également.... et.... tout le monde est indemne .

La traque est avertie que les sangliers reviennent dans leur direction.... A priori, çà n'a pas remonté pour sauter la route...

Gilou décide de remonter appuyer la ligne de la route...

Je suis super heureux... mais déçu d'avoir manqué l'immanquable...

Cinq minutes se passent, un très beau renard se présente pleine bille et.... plus près.... il fait lui aussi demi-tour à proximité de la ligne... Quasi au pas, je lui envoie un puis deux coups de carabines....

J'annonce "à toi Pascal", car le renard a refait un écart pour retenter de sauter la ligne... Il sera tiré par le posté entre Pascal et Réjane, manqué, et refuse Pascal.....

C'est pas possible ! Manquer à deux reprises dans ces conditions.... mais j'suis content....

On discute entre postés (on reste quand même tous à notre poste), mais c'est la déconnade... Pascal me crie "Fréd applique toi !"...

Tout à coup, un gros ramdam venant de la direction de la traque....

Si... c'est sûr, c'est "encore" des sangliers... qui courrent pleine bourre sur la berge de l'étang.
Je descends de 5 mètres dans leur direction.... J'suis seul (Gilou étant remonté vers la route)... les deux premiers passent la ligne... je mets dans la croix.... 1er coup.... loupé enchainé d'un deuxième et immédiatement troisième coup de carabine.... loupé, loupé, loupé.....

Je mangerais presque la carabine, même si les deux derniers coups étaient "pour les faire courrir plus vite" vers la ligne derrière nous....

Bref, je suis super content... Au fait, y'en avait combien ??? Réjane me dira "7" !... rien que çà...
Ca fait donc 3 + 7.... 10 sangliers en 15 minutes.... et 2 + 2 + 3 coups de carabines..... loupés....

La traque arrive quelques minutes après.... Réré est en sueur....
Je me fait "doser" gentillement pour mes loupés....

Les sangliers ne seront pas revus.... (non, non, je les ai pas tous tués )

Fin de traque, il est décidé d'attaquer un autre secteur pour tenter les chevreuils...

Je suis placé... la traque démarre... on annonce "Attention chevreuil !".... et j'entends arriver un animal... je soupire presque que çà vienne à moi...

J'aperçois une toute petite chevrette au pelage très foncé qui s'arrête à 5 mètres....

Elle passe la ligne moins vite qu'au pas, et à...... 10 mètres....
Je mets la croix en arrière de l'épaule.... appuie sur la détente.... et là, c'est.... encore manqué !!!

L' effrontée va même jusqu’à faire ½ tour direction la traque, monter à Réjane, s’arrêter à 2 mètres, me repasser devant pour sauter entre moi et un autre posté….

Décompte… 2 + 2 + 3 + 1 = = = = = > 8 balles pour… 0 pièce…

Fin de traque, je relève ma balle (comme celles tirées précédement), que je retrouve en terre entre ce qui était les pattes de la chevrette…. Ma carabine est donc déréglée….

Retour aux voitures, je raconte ma nouvelle aventure… Blaireau me dit… si tu veux, on mets un papier à + / - 100 mètres pour voir où va ta balle…. OK…

Le papier devant une belle butte de terre à 60 mètres, je tire appuyé sur le capot d’un C15.… la balle est effectivement en haut complètement à gauche. Je suis rassuré !

Je demande à Réré d’en tirer une, il décline l’invitation mais demande à son pote Alain de s’y coller…

Alain prends la visée… le coup claque et là ! C’est la « big honte »…. Le papier vole en éclat !

Je sais plus où me mettre… Alain est désolé pour moi… D’autres chasseurs disent « bah, il a fait la correction ! » mais non, c’était bien vidsé dans le mille et mis dedans… Je sais plus où me mettre, je suis rouge de honte, autant pour moi que pour Réré, car j’ai vraiment l’impression de passer pour un « branquignole »…

Bref, Blaireau et tous les autres chasseurs sont super sympas, et essayent de me remonter le moral, en me disant qu’il y a des jours comme çà…
Mais je suis « soufflé », car habituellement, je suis assez bon tireur… Vas savoir !

Retour à la cabane, en ayant fait escale chez Réré pour emporter les quelques bières Haut-Marnaises que j’avais descendu….

Je me fait charrier sympathiquement…

Et oui ! S’il y a autant de sangliers en Haute-Marne, c’est grâce à nos qualités de tireurs !

On boit une bière. Un joli mâle de 80 Kgs tué dans l’après-midi est à la découpe.
Mes exploits de tireur sont inscrit au tableau… sur 17 balles…. J’en « claque » tout de même 8 !



Et ma feuille de "réglage"....



On discute pendant un moment, et il est déjà l’heure de remonter chez Réré pour se préparer à aller manger des grenouilles au Mollard, auberge ayant déjà vu quelques membres de PLC.
On se prépare… on monte au resto… on s’attable et faisons connaissance avec la patronne des lieux.
Un petit apéro et un petit coup de fil à Gégé, que les grenouilles arrivent déjà à table…

On passe une sympathique soirée…

On rentre, 23H30, tout le monde va se coucher…. Demain, pieds à 07H30.… nous resterons au lit, le temps que Réré y aille avec Adrien (rien ne sert de faire les pieds à 4... Pour ne pas déranger).

Le Dimanche:

Nous nous lèverons tout de même sur les coups de 07H00, on déjeune rons avec Réré, Fréd se lèvera dans la foulée et nous discuterons autour d’un café.

Réré part avec Adrien alors que le temps est encore clair…. Mais pas pour longtemps car il commence à pleuvoir.

09H30, on prends le 4X4 de Réré et on se rends au lieu de rendez-vous, dit « la table » J’ai assez bien « imprimé » le territoire et m’y retrouve assez facilement.

On me remets un trophée pour me « remercier » de mes « exploits » en toute sympathie. Je suis touché de cette attention.



Il est décidé qu’une « attelée » sera faite en bordure de l’ain…
Nous sommes placé sur le bord de la rivière tandis que d’autres postés ferment le carré.
Il pleut comme « une vache qui pisse ». Les sangliers ne sont pas au rendez-vous, et pour me rassurer, un brocard sera manqué « en belle » par un posté.

12H15, fin de battue, on rentre trempés comme des soupes.
Arrivés chez Réré, on squatte son garage pour y pendre toute les affaires, séchons les armes, tandis que gentiment, Fréd nous propose de faire sécher quelques affaires au sèche-linge.

Un bon repas autour d’une gigue d’agneau et de gratin… toujours préparé par Fréd.

14H15, Bernard et Fabrice arrivent chez Réré après s’être assurés que la reproduction a été « bonne » sur la partie que nous allons chasser l’après-midi.

Il faut dire qu’une partie au petit gibier nous a été prévue sur le territoire de Bernard.

On boit le café, on prends les armes, les chiens, et c’est parti pour la chasse de l’après-midi.
On se rends sur un territoire vraiment excellent pour y pratique la chasse avec des broussailleurs.

Des parcelles pleines de petites ronces, et d’autres de bruyères…. Çà va être un régal, pour Elios, Bonnie, Toto et la chienne à Fabrice…

On attaque la chasse par une parcelle de petite ronce… Elios est comme un dingue et me fait du « n’importe quoi ». Bonnie et Toto sont très studieux, et la chienne à Fabrice est dans le même style qu’Elios.

On traverse une route, et attaquons une autre parcelle. Avec Réré, nous voyons une faisanne qui piète.
Bonnie la travaillera parfaitement, et j’aurais la chasse de tuer la poule au premier coup de fusil.
Elios me la rapporte…
Du côté de Pascal, Toto est à l’arrêt….
Pascal nous fera une démonstration de son swing Berrichon….

On continue…

Bonnie nous travaille un coq qu’elle fera décollé. J’épaule, regardes Réré qui est épaulé…
Le faisan part mais Réré ne tire pas…
J’envoie 2 flambées bien manquées… Elios suit le coq du regard et part….

Je siffle, je siffle…. Pas d’Elios…
Au bout de 4 / 5 minutes mon gaillard revient…. Avec le coq dans la gueule…. Il était allé le coiffer…

On continue dans un endroit sale…. Bernard passe de notre côté, Toto se mets à l’arrêt…

Bernard me dit de venir… Toto est planté comme une statue. A l’ordre de son maitre, il coule… la poule démarre. Je lève le fusil, tire (un peu près tout de même) et la poule tombe dans un roncier.

J’envoie Elios au rapport, mais pendant 5 bonnes minutes, rien…
Réré approche avec Bonnie, les chiens cherchent dans ses ronces qui sont très épaisses à cet endroit.
Je ne vois pas Elios et lui dit sans arrêt « cherche et apporte » mais rien… Il me donne l’impression de ne rien avoir envie de faire… Je commence à grogner. Je renvoies le chien à la ronce, et 5 minutes plus tard, j’arrive à l’apercevoir à travers les ronces avec la poule dans la gueule… Je l’encourage et le félicite…. C’était difficile.

Bernard lève ensuite un coq, qu’il laisse partir et le tire à une distance plus que raisonnable avec son 20.
Le faisan prends du plomb, et Pascal, qui est de l’autre côté de la haie, lui remets une cartouche « plein dedans ».

On s’approche d’un roncier où une poule manquée s’est remisée. Toto se mets à l’arrêt, Pascal prends position, mais Toto casse l’arrêt.
Elios entre dans le roncier, j’annonce à Pascal « attention »… Mais la poule s’emmêle dans les ronces et encore une fois, Elios la coiffera…. Je suis déçu pour Pascal…

On remonte la parcelle quand la chienne à Fabrice entre sous un houx, où la ronce a monté, et coiffera un obscur…

C’est la fin de la partie de chasse, nous avons prélevé à peu près le « taux de reproduction »

Retour aux voitures, on fait le tableau, et prenons quelques photos…







Nous n’avons pas eu la pluie et la chasse a été très conviviale.

Retour chez Réré pour un bon café chocolat chaud et des « fingers ».
On discute, on discute… Bernard et Fabrice nous quittent.

17H30, il est malheureusement déjà l’heure de penser à reprendre la route….

On charge les sacs, on fume une cigarette chinoise, et nous faisons nos au-revoir à Réré, Fréd et les enfants en les remerciant mille fois pour leur accueil et leur gentillesse.

Je dois avouer que c’est avec regrets que j’ai quitté ce joli coin et les personnes qui les côtoient…

Mille merci à Blaireau et son équipe, entre autres Alain, Narbé, Fabrice, Nono, Gilou, Adrien, Bubu, Puce, … et tout les autres qui voudront bien m’excuser d’avoir oublier leur prénom, tout en sachant que je me rappellerais de leur visage et de leur sympathie.
Merci beaucoup pour votre accueil et votre gentillesse qui nous ont vraiment touché.

Et pour finir, un grand merci à Réré, qui est une personne telle que je l’imaginais… sans en dire de trop, c’est un Monsieur qui vaut vraiment le coup d’être rencontré.
Merci également à Fréd, pour sa gentillesse, son dévouement et sa disponibilité… sans en faire de trop non plus, nous te faisons de grosses bises.

Bref, merci, merci, merci….

ça y est enfin , te voila liberé !!! tu a fait un tres beau recit ! merci encore a vous trois d'etre venu nous faire une demonstration haut-marnaise.

les sangliers ont encore rigolés toute la nuit derriere chez moi !

J'crois pas avoir raconté d'âneries ???

si, il y en a une qui me scandalise....j'suis a 2 doigts de quitter le forum !
on a pas bu un café dimanche apres midi , mais un CACAO !!!

J'm'en suis aperçu en relisant le message.... j'ai modifié.

Je me suis rappelé de cette tradition

Merci beaucoup pour le résumé parfait de votre déplacement au pays du sanglier libre ...
Juste une petite note d'humour : "si tu veux bien tirer le jour , pas de folie la nuit ..."

toftof a écrit:Merci beaucoup pour le résumé parfait de votre déplacement au pays du sanglier libre ...
Juste une petite note d'humour : "si tu veux bien tirer le jour , pas de folie la nuit ..."

heuu ..je crois bien qu'il avait plus de munition le soir venu !

Eh bien beau week end chez Réré, merci pour ton récit, maintenant pour les tirs, il y a des jours "avec" et des jours "sans", tu feras mieux la prochaine fois.

que l'on ne vienne pas dire apres cela que je ne" mouille pas le maillot "quand je traque !!!
car la , il ne pleuvait pas ! c'est de la vraie sueur !

super rencontre et merci pour ce magnifique récit, étant allé chez réré je m'y suis revu.

Salut
En effet ça à l'air d'avoir été encore une sacré rencontre
Du récit fred

Merci à tous.

KEILER a écrit:Eh bien beau week end chez Réré, merci pour ton récit, maintenant pour les tirs, il y a des jours "avec" et des jours "sans", tu feras mieux la prochaine fois.

Là, c'était vraiment un jour sans... çà va être très très difficile de faire pire....

Il existe pire

Merci beaucoup pour le récit ! Z'avez bien du vous marrer entre le président du berrich'club et son membre d'honneur limite vice président!!!

Tu as re-ciblé ta pétoire depuis?

Car une balle toi et une balle lui, il se peut qu'elle soit réellement déréglée et qu'un coup de doigt ai mis sa balle plein centre...
(Sa m'est déjà arriver... on fait essayer une carabine déréglée a un mec sans lui dire... on voyait en plus le canon qui bougeai de manière que même réglée, la balle ne serai jamais allée au centre et.... ...il a fait mouche!!! mais alors plein centre de chez plein centre!)

Je ferais un ciblage en rentrant en Haute-Marne jeudi, mais là, la personne ayant tiré est reconnue pour ses qualités de tireur.

J'vais voir de quoi çà peut provenir (du bonhomme bien sûr), mais au moins savoir si c'est coup de doigts, mauvaise mis en joue,.... bref, tout çà seul, et à tête reposée.

De toutes mes balles retrouvées, je suis bon dans l'axe, mais quasi toujours en dessous....

Le goupil a écrit:
De toutes mes balles retrouvées, je suis bon dans l'axe, mais quasi toujours en dessous....

Le "coup de doigt" nous fait faire cet écart de tir.

Tu avais quoi comme arme et optique ? (sans rapport, par simple curiosité).

pour tonn magfnifique cr Fred

Très bon cr Fred mais je vais rajouter quelques détails... Laissez moi rentrer et plumer les faisans et je vous raconte ça !

Salut

je voie que vous avez passé un trés bon séjour chez Réré et sa charmante épouse.

j'en profite pour leurs passer le bonjour de la Gironde .

merci pascalou ! je te renvoi le bonjour du" pays des sangliers qui rigolent"

Le sanglier rieur, c'est dans astérix et les breton sa!!!

bravo les gars vous avez du passer de bonnes journées et tres beau récit on s'y croirais

Merci pour ce très bon et long récit
J'adore

De plus, on ressent dans celui-ci tout ce que je trouve d'admirable dans notre passion commune à savoir : la convivialité.

Tant pis pour "les sangliers qui rigolent" ou tant mieux, ça laisse des anecdotes...

KEILER a écrit:Tu avais quoi comme arme et optique ? (sans rapport, par simple curiosité).

Une semi-auto benelli Argo en 300 Win Mag montée d'une Zeiss Diavari ZM 1.1-4X24 via un montage pivotant EAW. Munitions Winchester Accubond.

Et oui... tout plein de convivialité dans le pays des.... euh !!! de la dombe

Personne n'a relevé le coup du swing berrichon.....