Ça commence.

Les canons n'auront pas beaucoup refroidi. Ce week-end ouverture battue sangliers. Un mois d'avance. Le préfet s'énerve.

Vue la chaleur de ces jours...le préfet pourrait bien s'énerver autant qu'il veut, c'est pas moi qui sortirait un chien pour chasser .

Chez nous il fait frais dans l'ouest.

Dans quel secteur?
Dans le 29 sur certaines communes c’est ouvert depuis début juin

Toute le 35.

Nous aussi ça commence ce weekend mais c'est ouvert depuis début juin dans le Gers.
Les maïs commencent à être en lait donc quand ça rouspète, faut y aller.
Perso je lâcherai pas avant aout et encore à 10h les chiens seront rentrés au parc.

Non dans le Gers on ne peut pas dire que ça commence, ça ne s'arrête jamais!!!!
Des battues administratives jusqu'au fin mai, puis ça repart en juin par des battues communales.
Malgré cela autant de sangliers vus à l'affût . Je ne sais pas si ont en verra le bout un jour.

lylian32 a écrit:. Je ne sais pas si ont en verra le bout un jour.

Pas tant qu'on le voudra pas vraiment.

Pas tant qu'on le voudra pas vraiment.[/quote].

Pourtant ce que je peux te dire, c'est que dans mon secteur on s'en occupe sérieusement !!!

Ce n'est hélas pas le cas partout.
Tant que les équipes ( pas toutes malgré tout) "gèreront " une espèce nuisible, on n'en sortira pas ( et oui, la peur de manquer !!!).

Les sangliers ne montent pas aux arbres et ne poussent pas comme des champignons non plus.

Hier soir mon collègue me disait qu’ils ont vu une soixantaine de sanglier le soir sortant d’un colza de 13 hectares.
Il y a eu au moins 13 chaudrons dans ce champ.
C’est dans une réserve aspas et une fois coupé les sangliers viendrons en parti sur ma nouvelle société.je vais voir ce soir si présence chez nous en approchant mon chevreuil car pas très loin

philgood a écrit:Hier soir mon collègue me disait qu’ils ont vu une soixantaine de sanglier le soir sortant d’un colza de 13 hectares.
Il y a eu au moins 13 chaudrons dans ce champ.
C’est dans une réserve aspas et une fois coupé les sangliers viendrons en parti sur ma nouvelle société.je vais voir ce soir si présence chez nous en approchant mon chevreuil car pas très loin

Bona sera,

je serais curieuse de connaitre la réelle identité du propriétaire de cette parcelle, il y a un coup de billard à trois bandes là-dessous, un tour de passe-passe sur le foncier qui m'échappe. 

Je savais qu'il y avait des sanctuaires protégés pour les nuisibles dans les cités mais je pensais qu'à la campagne, il était interdit de favoriser la prolifération des animaux qui causent des dégâts. C'était ainsi avant, ça a changé depuis qu'en "démocrassie" la tyrannie des minorités est devenue une règle. Bon courage à vous et bonne gestion des sangliers des autres aux cochons de payeurs, bien que je suis convaincue que nombre de chasseurs ne seraient pas mécontents d'une pareille situation sur leurs communes.

lylian32 a écrit:

Pas tant qu'on le voudra pas vraiment.

.

Pourtant ce que je peux te dire, c'est que dans mon secteur on s'en occupe sérieusement !!![/quote]


Quand tu vois que les fédés imposent un nombre minimum de chasseur par battue, et que le tir de rencontre est interdit, on peut se poser des questions sur la volonté réelle de faire baisser les effectifs. Par contre, pour pleurnicher...............................
Dans certains départements, les battues ont lieu 10 mois sur douze, et les populations ne cessent d'augmenter. Quand on prend le temps de la réflexion, on en déduit qu'on applique pas la bonne méthode. Et pourtant, on ne change rien, on continu toujours sur la meme ligne.
Personnellement, çà me convient tout à fait, je suis chasseur et non destructeur. Je considére le sanglier comme un gibier et non comme un nuisible.
La battue, c'est mon mode de chasse, mais c'est absolument pas la méthode pour réduire les effectifs de sanglier. C'est une bonne façon de gérer le cheptel d'une société.
Il suffirait juste de donner le droit de chasser le sanglier en individuel, comme le petit gibier.
Je l'ai vu sur une commune où je chassais. Un petit malin a créé une deuxième association, privéee celle là, et est allé voir les cultivateurs. Il a récupéré environ la moitié des terres cultivée. Nous on à rigolé au début, on avait toute la garrigue pour chasser. Seulement quand tu as 7 ou 8 types postés tous les soirs et matins, et ben, en 2 saisons ils ont tués la chasse.
On commence à le lire, des proprios insatisfait des chasseurs, qui créé leur société, et trouvent des types pour affuter tous les jours.

Dans certains coins, il n'y a pas besoin de réserves. Déjà à la fermeture ,les cheptels étaient encore important ( malgré des résultats plus que significatifs dans quelques sociétés, sauf que dans d'autres, par peur de manquer à cette prochaine ouverture ont a assisté à des battues "quasi pour rien" voire plus de battues, pour protéger les éventuelles femelles (dont certaines commencent à reproduire de + en + jeunes et toute l'année ). Chercher l'erreur.
Quand ils voudront bien comprendre qu'on ne gère pas un nuisible, ( désolé, ESOD) mais on le régule strictement, on aura peut-être fait un pas en avant.
Après ils sont les 1ers à gueuler que les dégâts coutent cher aux chasseurs !!!

Patrizia a écrit:

philgood a écrit:Hier soir mon collègue me disait qu’ils ont vu une soixantaine de sanglier le soir sortant d’un colza de 13 hectares.
Il y a eu au moins 13 chaudrons dans ce champ.
C’est dans une réserve aspas et une fois coupé les sangliers viendrons en parti sur ma nouvelle société.je vais voir ce soir si présence chez nous en approchant mon chevreuil car pas très loin

Bona sera,

je serais curieuse de connaitre la réelle identité du propriétaire de cette parcelle, il y a un coup de billard à trois bandes là-dessous, un tour de passe-passe sur le foncier qui m'échappe. 

Je savais qu'il y avait des sanctuaires protégés pour les nuisibles dans les cités mais je pensais qu'à la campagne, il était interdit de favoriser la prolifération des animaux qui causent des dégâts. C'était ainsi avant, ça a changé depuis qu'en "démocrassie" la tyrannie des minorités est devenue une règle. Bon courage à vous et bonne gestion des sangliers des autres aux cochons de payeurs, bien que je suis convaincue que nombre de chasseurs ne seraient pas mécontents d'une pareille situation sur leurs communes.

La propriété doit faire 800 hectares.le marquis aimait la chasse et j’y ai été invité étant jeune 2 fois avec mon père.
Arrivé un certain âge il a épousé une belge si je ne me trompe pas,une vegan,anti tout,puis ils ont créé une fondation et est venu part la suite un refuge lop au début puis aspas.
Même les louvetiers n’y vont pas car ils ont le bras long,très long.
Apparemment le fils de cette femme est encore pire que la mère.la personne qui loue ces terres(un bail très très long) n’a pas le droit de mettre des bêtes sur les terres.que des cultures
Si tu veux son nom en mp si tu veux.

philgood a écrit:

Patrizia a écrit:

philgood a écrit:Hier soir mon collègue me disait qu’ils ont vu une soixantaine de sanglier le soir sortant d’un colza de 13 hectares.
Il y a eu au moins 13 chaudrons dans ce champ.
C’est dans une réserve aspas et une fois coupé les sangliers viendrons en parti sur ma nouvelle société.je vais voir ce soir si présence chez nous en approchant mon chevreuil car pas très loin

Bona sera,

je serais curieuse de connaitre la réelle identité du propriétaire de cette parcelle, il y a un coup de billard à trois bandes là-dessous, un tour de passe-passe sur le foncier qui m'échappe. 

Je savais qu'il y avait des sanctuaires protégés pour les nuisibles dans les cités mais je pensais qu'à la campagne, il était interdit de favoriser la prolifération des animaux qui causent des dégâts. C'était ainsi avant, ça a changé depuis qu'en "démocrassie" la tyrannie des minorités est devenue une règle. Bon courage à vous et bonne gestion des sangliers des autres aux cochons de payeurs, bien que je suis convaincue que nombre de chasseurs ne seraient pas mécontents d'une pareille situation sur leurs communes.

La propriété doit faire 800 hectares.le marquis aimait la chasse et j’y ai été invité étant jeune 2 fois avec mon père.
Arrivé un certain âge il a épousé une belge si je ne me trompe pas,une vegan,anti tout,puis ils ont créé une fondation et est venu part la suite un refuge lop au début puis aspas.
Même les louvetiers n’y vont pas car ils ont le bras long,très long.
Apparemment le fils de cette femme est encore pire que la mère.la personne qui loue ces terres(un bail très très long) n’a pas le droit de mettre des bêtes sur les terres.que des cultures
Si tu veux son nom en mp si tu veux.

Bonghjornu,

merci Philippe de ces explications. Je me suis mal exprimée hier soir, l'identité ne m'intéresse pas, je voulais savoir par quel artifice ces terres s'étaient retrouvées dans le giron de l'aspas et par qui elles étaient exploitées (propriétaire ou fermier). Vous m'avez apporté une réponse claire, merci.

La dure chute, et pas que de cette histoire, c'est qu'il suffit à l'ASPAS qu'une végane de ses adeptes titille le gland et suçote le poireau d'un marquis de cette bonne vieille noblesse bretonne, pour sanctuariser huit cent hectares de terre et les convertir à sa cause d'ensauvagement. 

Stupre et décadence, la reconversion agricole revue et corrigée par les folles de la new greenwashing society.

Votre ruralité est irrémédiablement perdue; la mienne le sera aussi mais il faudra qu'ils patientent encore un peu pour s'en accaparer.

Bona ghjurnata.

Tres honnêtement Patrizia,heureusement que ce genre de situation est rare voir très rare par ici,mais il faut être très vigilant quand même car les problèmes avec ce genre de verdits augmentent rapidement.sur la commune ou j’habite nous n’avons aucuns soucis mais la ou je rentre cette année,c’est un peu plus compliqué..
Comme tu l’écrivais dans ton message,certains sont plutôt content car depuis que c’est en réserve.les communes limitrophes sont passés de 3 a10 sangliers par ans à 40 à 100 suivant la proximité à cette réserve.par contre les pauvres paysans voient rouges,impossible de cultiver certaines cultures