Récit et photo de vos sorties petit gibier , saison 2016/17

Voilà ,
Il est ouvert , à vous !

Salut à tous,

Alors pour ma part, depuis l'ouverture, les sorties ont été plutôt fructueuses.
3 lièvres, 3 faisans et une rouge au tableau en 5 sorties.
Je compte quand même 2 bredouilles à mon actif dont une samedi dernier ou je lève 3 faisans mais impossible de tirer (trop de feuilles encore...)

Vivement l'arrivé des bécasses et la chute des feuilles pour favoriser les tirs mais je suis quand même content de voir pas mal d'oiseaux et le résultat pour ce début de saison est pas si mal !

Salut

Pour ma part 7 lapins

Et en tout (je chasse avec mon père et mon cousin) 14 lapins 3 Perdreaux et 2 faisans

slt a tous ,pour ma part ,21 pigeons ,11 corvidés ,et 1 pie qui passait par la ...
malheureusement ,plus de lapin par chez nous et comme nous ne faisons pas de lâché de faisans et de perdrix ,pas grand chose d'autre pour l'instant.par contre ,vu bcp de jeunes lièvres, c'est bon signe...

slt a tous , je chasse avec mon père depuis l'ouverture ont a fait 1 chevreuil , 1 renard , 1 perdrix rouge , 1 pigeon , 5 faisans et 3 lapins sa fait du bien de revoir du gibiers merci au chien

Bonjour,

Dimanche, c'était l'ouverture du lièvre. Alors je vais vous raconter mon histoire de lièvre.

Tout commence le mercredi précédent, au retour d'une petite virée aux palombes, à travers une friche défoncée par de profondes ornières. A 200 mètres de la maison, je décharge le fusil tout en marchant. Erreur, grosse erreur d'inattention, j'ai posé un pied juste sur le bord d'une ornière. Sous le poids, le pied se vrille. Vive douleur. Craquement sec. Grosse gamelle. Je me relève difficilement, mais c'est impossible de poser le pied au sol. Examen rapide : la cheville n'a rien, c'est l'intérieur du pied qui a morflé. Finalement je réussis à marcher sur le talon, sinon j'y serais encore !

Dimanche, 8 heures 30. Avec 3 amis et leurs 2 beagles, la chasse commence.
10 heures, un lièvre est levé au bois et prélevé par le p'tit jeune de la bande (40 ans passés !).
11 heures et demie, les beagles prennent un autre pied et foncent à travers champs. J'ai de plus en plus mal au pied. Fatigué de marcher sur le talon, c'est impossible de suivre, je rentre seul.
Entre moi et la voiture, il faut traverser un grand chaume presque nu. Quelques herbes m'incitent à dévier un peu de la ligne directe. Une touffe plus haute que les autres m'invite à un détour qui me pèse. Hésitation. Allez, j'y vais. Bingo, un lièvre déboule à 5 mètres. Pan. Il s'écroule. Ah, je l'ai mérité celui là !
Au moment de le ramasser, il rampe sur le flan. Je n'arrive pas à le saisir. Satané pied, il me fait beaucoup souffrir maintenant. Le lièvre se remet sur ses pattes et se traîne. Moi aussi ! Maintenant il fait des bonds à la verticale, sur place, à 3 mètres de moi. Son flanc gauche est rouge de sang. Je me dis qu'il finira bien par faiblir et s'écrouler. Mauvais pronostique. Il démarre à fond, me frôle et file dans mon dos. Demi tour précipité dans la douleur, je tire trop vite, encore en déséquilibre et rate  à 20 mètres. J'avais le temps de me stabiliser et tirer à 30 mètres. Quelle erreur !
Le lièvre fonce vers un maïs à 100 mètres, ralentit, atteint le premier rang et s'arrête. Je le vois immobile quelques secondes, plus plus rien.
J'ai la rage, je suis stupide, j'ai eu ce lièvre 2 minutes tous près de moi et je n'ai même pas pensé à l'achever. Quel c*n !
Un quart d'heure plus tard, mes 3 potes reviennent. Je montre l'endroit où le lièvre est entré. Le plus jeune chien prend le pied, rentre de quelques rangs et peu après j'entends le lièvre couiner. Il l'a attrapé ! Eh bien non, le bestiau sort comme une flèche à 30 mètres de moi. Pan, cette fois il a son compte.
Ouf, la mésaventure se termine bien. Je ne suis pas fier de moi. Avec bientôt 50 années de chasse à mon actif, j'ai multiplié les erreurs comme un débutant.
A la réflexion, je pense qu'un plomb a frôlé le crâne et assommé le lièvre. Il a mis 2 minutes à reprendre ses esprits. Ses blessures au flanc n'étaient pas mortelles, mais elles l'ont bien affaibli. Il a quand même trouvé des ressources pour faire 2 sprints à 15 minutes d'intervalle. Sans le dernier tir, aurait-il survécu ?
Honte à moi et honneur au lièvre qui a fait preuve d'une vitalité extraordinaire.

Bonsoir,

@saintonge , je n'ai pas la prétention de t'en apprendre sur le lièvre, tu as quelques années de permis de plus que moi, et tu en as certainement prélevés beaucoup plus, mais vu que tu poses la question, je me permets de donner mon avis. Ton lièvre n'aurait certainement pas survécu et c'est tant mieux que tu aies pu malgré tout abréger ses souffrances, qui auraient pu être plus longues encore. Le lièvre a "beaucoup de sang", je ne sais pas si cette expression est utilisée ailleurs, mais par chez nous, c'est comme ça que l'on désigne un animal qui résiste bien aux chocs des plombs ou de la balle, même si la zone touchée est, à plus ou moins long terme, mortelle, l’hémorragie prend plus de temps chez certains animaux que chez d'autres (d'où l'expression). Il m'est arrivé quelques fois d'en tirer, sachant très bien vu le point d'impact de ma gerbe, la distance de tir et le comportement du lièvre au moment de l'impact, qu'il était mortellement touché, de les voir se relever et repartir. Cela m'a surpris la première fois, mais depuis je suis toujours sur mes gardes, et quand je vais pour le ramasser, je me tiens prêt à un éventuel sursaut de sa part (je n'y vais pas avec l'arme déchargée).
Mais une fois, je suis resté carrément sur le cul :
Il y a 3 ou 4 ans, à la billebaude avec un copain, sans chien, dans un champ de moutarde, je mets pratiquement le pied sur un capucin qui me décolle dans les bottes et fonce sur mon copain, bien évidemment, je ne tire pas, puisque sinon c'est dans la direction de mon ami. Lui le voit venir droit sur lui, il attend (pour les mêmes raisons que moi), arrivé à 2 mètres de lui, le lièvre fait un crochet pour l'éviter et passe à même pas 5 mètres de lui (d'accord ça fait près mais il sait qu'il a du petit plomb donc soit il tire proche, soit il tire pas), plein travers, Boum, il le tape plein fer, il s'écroule. Voyant la scène, même si je sais que le copain a du 7 (on était pas spécialement au lièvre), je me dis qu'on va le retrouver coupé en 2. Et là, à notre grande surprise, seulement 5 secondes après le coup de fusil, il se relève et détalle, surpris mon copain envoie son 2ème coup, et le loupe. Le lièvre bifurque alors à gauche et me part de cul, à 20 mètres, queue de détente bloquée, foutue sécurité qui s'était enclenchée je ne sais comment, je l'enlève de suite et Boum, il fait une galipette... Et se relève et repart sur 3 pattes, mon tir lui ayant cassé une patte de derrière, reboum, regalipette, repart encore. A ce moment-là, je me demande vraiment de quoi est fait ce lièvre. On le suit, on ne veut ni le perdre, ni le laisser souffrir trop longtemps. Enfin quand je dis on le suit, on essaye car même sur 3 pattes, il court plus vite que nous. Il fait environ 300 mètres, et va jusqu'à la première haie qu'il trouve où il rentre se mettre à l'abri. Juste à la limite du territoire voisin. Mon copain me laisse son fusil (on est plus chez nous) et va le chercher. Il ressort 30 secondes plus tard, le lièvre à la main, l’hémorragie a fait son oeuvre.
J'ai un profond respect pour le gibier, mais c'est vrai que, particulièrement depuis ce jour, une certaine admiration pour le lièvre, quelle robustesse, quelle solidité pour cet animal, qui reste malgré tout de petite taille, mais très grand par sa combativité.
Je ne peux pas passer une soirée avec mon ami présent ce jour-là, sans que l'on reparle de cette partie de chasse qui restera à jamais gravée dans nos mémoires

Bonjour à tous,
Aujourd'hui devait être un jour sans chasse, mais madame travaillant cet après-midi, le temps étant plutôt au beau et n'ayant rien de spécial de prévu, l'envie d'aller faire un tour de billebaude me prend.
J'arrive sur place à 14H. N'ayant pas emmené le chien (je ne l'emmène malheureusement plus depuis 4 ans mais c'est pas le sujet), je me dis qu'à part un pigeon imprudent qui me passerai à portée, ou marcher sur un capucin, mes chances de faire une pièce sont très restreintes. C'est décidé, un coup de 5 en premier, un coup de 4 en deuxième, tout ça en bourre jupe, mes petites Solognac feront bien l'affaire.
Me voilà donc parti en balade, je bats les champs, je fais les haies quand même au cas où, sans grand espoir. Jusqu'à 16H, rien mis à part des geais qui signalent ma présence à tout le monde, en prenant soin de ne pas se trouver à portée (en même temps vaut mieux pour eux).
Je décide de monter faire les plateaux car j'ai chaud et mal aux pattes à force de monter et descendre, le haut du territoire étant plus plat, j'irai passer une petite heure là-bas et puis je rentrerai, en plus j'ai une soif de batteuse, j'ai oublié de prendre une bouteille d'eau.
Je reprends la voiture et m'en vais donc sur le haut.
Je commence le premier champ en longeant la haie, bon sang que j'ai soif, et j'ai pas trouvé mieux à faire que de fumer une cigarette en route, ce qui n'arrange pas mes affaires, tout à coup, à 150 mètres de moi, au coin de la haie, quelques petites formes qui se déplacent me font oublier ma soif, ce sont elles, nos intouchables, c'est ainsi que l'on a surnommé une compagnie d'une vingtaine de perdrix rouges, des sauvages, qui sont depuis plusieurs années sur le territoire. Bien rares sont ceux d'entre nous qui ont réussi à en prélever une. Je me dis que ma chance est là. Je m'approche le plus silencieusement possible, à 100 mètres d'elles, elles décollent, et M...e, elles m'ont encore eu. Mais j'ai l'impression que la compagnie s'est bien réduite, je continue dans la même direction, je refais une trentaine de mètres, bbbbbrrrrooooouuuuu, 3 autres qui décollent, purée, trop loin !!! Je poursuis, j'arrive à l'angle de la haie où elles étaient posées, et là, une retardataire, je suis à une petite quarantaine de mètres d'elle, elle décolle au moment où je la vois, je sais que j'ai du gros plomb et que je peux me permettre d'aller la chercher un peu plus loin qu'en temps normal, je ne veux pas la rater, y'a longtemps que je n'en ai pas eu une (une sauvage) à portée de fusil et l'occasion ne se représentera sûrement pas de si tôt, le superposé monte instantanément, je prends un bon mètre d'avance, pan loupé, pan elle tombe, à ce moment-là je réalise que je ne la tire déjà pas dans mes bottes au premier coup mais au deuxième, elle est à une bonne soixantaine de mètres. Enfin, elle n'a pas souffert, c'est l'essentiel, je ne me permets pas d'habitude de tirer aussi loin, justement par peur de ne faire que blesser, on va dire que j'ai fait une exception aujourd'hui, due à un peu d'excitation de prélever une belle rouge sauvage et un peu d’inattention quand à l'évaluation de la distance. Je vais ramasser mon bel oiseau, bien content, je me dis que ça suffira pour aujourd'hui, en plus, j'ai toujours soif, même si je l'avais oublié pendant quelques instants. Sur le retour, je croise 2 de mes collègues de chasse, je les reconnais de loin, avec les 3 springers qui battent le terrain. Quand j'arrive à leur niveau :
-"On a entendu 2 coups de fusil, c'est toi ?
-Oui c'est moi !
-Qui q't'as tiré ?
Je mets la main dans mon carnier et en sort la belle
-Oh, une rouge, une sauvage, ça c'est bien mon gars, v'là ben longtemps qu'on en avait pas vu une dans un carnier, félicitations fiston (ils ont l'âge d'être mes parents sans problèmes), ça vaut ben tous les gibiers lâchés qu'on tue à nous tous su' la saison. (je suis bien de leur avis)
- Merci, et vous ça donne quoi, vous y êtes depuis ce matin, vous avez tué quoi ?
- Le temps, gamin !
Sur ces sages paroles, une poignée de main, je suis retourné vers ma voiture, toujours un coup de 5 un coup de 4 dans le superposé au cas où un capucin aurait l'idée de me décoller dans les bottes, mais ça ne sera pas le cas.
Ainsi se clôturera ce p'tit coup de billebaude imprévu, mais ma foi, bien agréable.

Bonjour,

Voilà un bon souvenir pour tes vieux jours !
Sans chien, le mérite est décuplé, mais le plaisir de le voir travailler est absent. Il faut penser comme le gibier qu'on convoite. Si j'étais lui, où est-ce que je me remiserais ? La réponse dépend du territoire, de la saison, de la météo, de l'heure... Pas facile pour un jeune chasseur. On apprend beaucoup à chasser seul et ça sert quand on a la chance d'avoir un partenaire à 4 pattes.

Moi aussi je me suis fait un bon souvenir ce matin. Le premier bel arrêt de ma jeune braque du Bourbonnais de 11 mois. Elle m'avait déjà levé 3 faisans et 4 perdrix, mais dans un style intermédiaire entre springer et chien d'arrêt. Là, c'était du beau boulot. Arrêt figé sur une place chaude en bordure de maïs, j'arrive juste derrière elle, elle coule quelques mètres, s'arrête (ou arrête, je ne la voyais plus dans le maïs) et la faisane décolle. Pas encore du travail de pro, mais les progrès sont bien là.

Le travail de pro, il a été fait la veille par une autre braque du Bourbonnais, Ignès de la Croix Saint Urbain, qui a gagné l'Open de France à Villesque (46). Ça veut dire que cette année le meilleur chien d'arrêt de France est un braque du Bourbonnais, race qui compte moins de 100 naissances par an !!! C'est une consécration pour la race et un grand plaisir pour tous les obscurs, comme moi, qui contribuent très modestement au sauvetage de cette race bien sympathique et tellement affectueuse.

Je ne vais pas vous faire un très beau CR pour ma part ! aujourd’hui, en plaine on fait 15 perdreaux et 1 lièvre et 2 sarcelles, ça fait plaisir de voir du gibier sauvage, cela dit on y passe beaucoup de temps ! Pour ma part je preleve le lièvre et loupe des perdreaux au dessus de ma tête !!! Belle population de perdreaux, malheureusement en lièvre un chien du voisinage (un lévrier en plus) a tout secouer va falloir trouver une solution, il ramène même des fouines...

Bonsoir @saintonge ,
Félicitations à ta fifille pour son premier vrai arrêt !
J'avoue que de ne plus emmener mon chien à la chasse me manque, c'était même ce qui me donnait le plus de plaisir à chasser mais je ne peux plus l'emmener
Je chasse rarement seul, j'ai plusieurs collègues avec qui je chasse qui ont des chiens et qui me font profiter des qualités de leurs compagnons, mais c'est pas pareil quand même. En tout cas aujourd'hui, je suis persuadé qu'avec un chien, je n'aurais pas prélevé ce perdreau, à moins que le chien se trouve derrière moi, plutôt rare pour un chien de chasse, car cette compagnie est très maline, à la moindre alerte, elles décollent sans crier gare, même si on est très loin d'elles et j'ai eu de la chance de surprendre ce perdreau, mais c'est vrai que j'ai bien apprécié ce moment de chasse en solitaire, je pense que ça restera effectivement un bon souvenir

Bien de la chance @Hugo76  d'avoir de belles populations de perdreaux, chez nous, si on en tue 15, on vide le territoire, la seule compagnie de sauvages que l'on ait est celle que j'ai endeuillée aujourd'hui, alors même si un jour on parvenait à surprendre la compagnie complète (y'a peu de chances dans nos plaines), on se restreindrait fortement dans nos prélèvements. J'ai une autre action ou on a un peu plus de gibiers sauvages, mais c'est principalement du faisan. Et cette année, je ne sais pas ce que ça donne par chez vous, mais nous la reproduction du petit gibier a été très mauvaise (faisans, perdrix, lapin, lièvre, tout a morflé)   , par contre, le chevreuil a bien prospéré
Pour ton histoire de lévrier qui fout le bordel, on a eu le même cas avec un chien d'un habitant de la commune qui le laisse trainer partout, et il chasse ce chien. Un collègue a été trouver les propriétaires et leur a demandé de tenir un peu leur chien (c'était fin de printemps en pleine période des naissances et le chien s'en donnait à coeur joie), et bien ceux-ci lui ont répondu qu'ils en avaient rien à foutre des c..s de chasseurs et qu'ils continueraient à laisser leur chien faire ce qu'il veut. Je vous le donne en mille, c'est un vétérinaire, celui chez qui presque tous les chasseurs de la commune emmenaient leurs chiens. Mon collègue leur a répondu que si le chien traînait encore, il appellerait les autorités compétentes pour leur signaler un chien errant avec les conséquences que ça peut avoir, et que de plus, par leur idiotie, ils venaient de perdre une quinzaine de clients, car évidemment quand il nous a raconté l'histoire, tout le monde a décidé de changer de vétérinaire. Le chien ne traîne plus, mais personne ne ramènera son chien chez ces imbéciles

Bonsoir,
Pour ma part, comme tous les jours je me rend au poste a 7h, je vois des grosses envolées de pigeons, certaines d'une bonne cinquantaine mais toujours trop haut ou très loin.
Vers 10h, 2 grives viennent enfin dans ma direction, j'en vise une, tire a deux reprises, elle pique sur la gauche passe derrière des arbres et je la perd de vu, je me demande alors si je l'ai touchée ou si elle s'est enfuie, dans le doute je vais faire un tour mais comme je n'ai aucun repère j'abandonne les recherches pensant l'avoir loupée.
Vers 10h30 je vois une silhouette beige dans des herbes haute, je me dis "tiens un chien il doit y avoir un chasseur pas loin", puis une deuxième silhouette, elle arrivent a 40m de moi dans un endroit plus dégagé et la que vois je, deux biches, dont une petite.
Je reste sur le cul , je pensais vraiment pas en voir par chez moi, surtout en mode chasse^^, ne pouvant rien faire j'essaye de les contourner pour les voir de plus près et profiter du spectacle mais malheureusement quand j'arrive elle ont disparu.
10h45, un pigeon me sort en face, je tire un coup, pas le temps d'en faire un deuxième, elle pique elle aussi sur la gauche derrière des arbres, je me pose alors la même question que pour la grive.
Je suis quand même un peu déçu de ne pas l'avoir tué net me disant que c'était plus difficile de la louper que de l'avoir, mais bon je me dis souvent ça^^.
Je vais donc voir si elle est pas tombée mais comme pour la grive, n’ayant j'ai rien vu, je m'arrête et me dis je la retrouverais jamais surtout si je l'ai pas eu^^, je décide alors de retourner au poste et au moment de repartir que vois a mes pied, la grive que j'avais finalement bien eu.
11h j'arrête la partie de chasse et décide d'agrandir le poste et de le restaurer.    
12h retour maison.
14h a 15h je fini de refaire le poste.
Arrive 16h30, trois chasseurs viennent se positionner dans des postes sur ma gauche.
17h un chasseur se positionnent sur ma droite.
Voila enfin la première grive qui surgit pour le chasseur sur ma gauche, elle est rapide et un peu loin deux lui, pan pan, elle tombe raide.
Deuxième grive qui arrive entre lui et moi, a peine le temps d'épauler, pan pan, le chasseur de gauche la fait encore tomber raide, il est rapide précis et tire de loin, c'est impressionnant.
A ce moment la, le chien du chasseur sur ma droite va chercher la grive^^, son maitre lui dit de lacher mais le chien lache a mis distance,du coup juste avant de rentrer j'ai aidé le gars qui l'avait tirépour la retrouver mais en vain , il faisait assez sombre, ce dernier flippait un peu que le maitre du chien lui avait fait laché la grive plutôt que lui garder et surtout parte quant on sais mis a la chercher.
Enfin, juste avant la fin de chasse ça tombait de tout les cotés sur ma gauche, j'ai compris ce que c'était des bons chasseurs^^, en même temps j'en ai eu qu'une qui c'est dirigé vers moi mais avec Clint Eastwood a coté je pouvais pas faire grand chose, je dis Clint c'est peut être pas trop approprié, je sais pas qui est le Clint de la chasse.
Demain matin j'y retourne, en général je suis seul le matin, si j'ai un peu de chance je retrouverais la grive, enfin si le gars avec le chien n'est pas repassé quant on est parti.


@AFONDEBALLE36
Comme toi je suis parti sans eau et j'ai eu très soif^^, sauf que moi je suis vraiment c.. , étant au poste et a même pas 100m de la voiture, la bouteille ne m'encombrerait pas.
Bien joué pour la rouge

Salut @timal , bravo pour ta grive, y'a plus de place à côté que dedans sur ces oiseaux
Tes biches, ce ne serait pas plutôt des chevreuils, parce que si ça avait la taille d'un chien, la biche est plus proche du cheval en terme de taille

PS: Pour la soif, les non-chasseurs comprendraient mieux pourquoi on boit le canon s'ils venaient faire une journée de billebaude avec nous

Je pense comme @AFONDEBALLE36 ce doit être des chevreuils je ne suis pas sur qu'ou tu chasses il y ai des biches

fabrice13 a écrit:Je pense comme @AFONDEBALLE36 ce doit être des chevreuils je ne suis pas sur qu'ou tu chasses il y ai des biches

Je pense aussi comme @AFONDEBALLE36, c'était bien des chevreuils  

AFONDEBALLE36 a écrit:
PS: Pour la soif, les non-chasseurs comprendraient mieux pourquoi on boit le canon s'ils venaient faire une journée de billebaude avec nous

enfin... il y en a qui boivent le canon avant même d'avoir commencé  

timal a écrit:

fabrice13 a écrit:Je pense comme @AFONDEBALLE36 ce doit être des chevreuils je ne suis pas sur qu'ou tu chasses il y ai des biches

Je pense aussi comme @AFONDEBALLE36, c'était bien des chevreuils  

AFONDEBALLE36 a écrit:
PS: Pour la soif, les non-chasseurs comprendraient mieux pourquoi on boit le canon s'ils venaient faire une journée de billebaude avec nous

enfin... il y en a qui boivent le canon avant même d'avoir commencé  

C'est ceux qui ont l'expérience, ils boivent en prévision, afin d'éviter une future soif  

salut
1ere bécasse ce mâtin

Bravo

merki

Bravo Phil. C'est toi qui l'a prélevé ?

dams38 a écrit:Bravo Phil. C'est toi qui l'a prélevé ?

non non C le voisin
oui C moi ce matin
tes ou toi en isere ?

Je te demande ça car j'avais compris autre chose sur ton autre post...

https://www.passionlachasse.com/t28734-la-neige-arrive

Moi de même.

dams38 a écrit:Je te demande ça car j'avais compris autre chose sur ton autre post...  

https://www.passionlachasse.com/t28734-la-neige-arrive

lol oui effectivement ça prete a confusion,je l'ai faite juste avant midi ,apres lui ,ont C appelé justement...
ont est peu a chasser en semaine ici ,il ma envoyer sa photo et j'ai fait de meme en rentrant,j'ai pas poster de suite ,désolé mais C bien moi ,je me permettrais pas de dire que C qq1 d'autre,