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Ven 31 Juil 2015 - 12:07
Au fil de la soirée , le tableau ne cessait de s'amplifier :

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Ven 31 Juil 2015 - 13:07
- C'est bien beau tout ça, mais pour gratter, vider, couper, notre pauvre boucher qui vient nous aider ne va pas suffire à lui tout seul, aller les gars, ça promet une belle soirée à rentrer à pas d'heure...!

Ah, le plaisir de la chasse aux gros c'est ça aussi, surtout que le Marcel il est strict, faut gratter, pas question d'enlever la peau comme les lapins, c'est meilleur avec la caouane pour les civets et les daubes, et là faut pas déroger.

On amène les 2 baignoires, l'eau bouillie et les sangliers l'un après l'autre là dedans, et après on les rase, c'est le plus long, faut voir la Maryse, c'est pas la dernière pour gratter les bestiaux, puis on coupe, on tranche les morceaux...

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Ven 31 Juil 2015 - 19:44
Blaser93 a écrit:Au fil de la soirée , le tableau ne cessait de s'amplifier :



Mais bien sur, dans la forêt du Falkenstein, cela tirait de tous les cotés, plus de trente sangliers ont été vus, il pleuvait des pruneaux, un bon nombre d'animaux ont été tués.  Mon vieux, quelle mémorable ouverture,

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Ven 31 Juil 2015 - 20:32
Marcel avait quand même reussi à tuer au ferme le Poney du janet, ce qui lui avait vallu toute l'attention de la Maryse , qui savait apprecier les vrai male........

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La valeur d’un trophée de sanglier ne se mesure pas en centimètres. Pour moi c’est l’investissement personnel,la difficulté pour l’obtenir et les personnes avec qui on partage ces moments,qui en font sa vraie valeur.
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Ven 31 Juil 2015 - 20:59
Pour sur que la Maryse, elle s'y connait avec les mâles

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Lun 3 Aoû 2015 - 9:51
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Je me réveille à plat, pas dormi ou presque, vanné, fatigué, claqué, comme quand j'étais gosse la nuit de la première ouverture, la chienne gratte déjà à la porte pour sortir, elle sait aussi que c'est pour aujourd'hui.
Comme à mes habitudes, les affaires sont déjà prêtes de la veille et le café chauffe en attendant Maurice.

Malheureusement je ne sais plus où j'ai rangé les clés de la voiture…... J'ai beau fouiller les poches de mes pantalons et tous les tiroirs de la cuisine, impossible de les retrouver...
La maison est retournée, les clefs sont retrouvées, me voilà prêt à partir pour une magnifique journée.

Merde quel c... ! J'ai oublié de faire le plein !!! Je n'aurai jamais assez d'essence... Mais le téléphone sonne.
- Allo Maurice ?
...un bon collègue ce Maurice, mais toujours en retard, on sera donc tous les deux ensemble à la bourre sur le terrain pour l'ouverture...

- T'as du jus toi dans ta caisse ?
Evidemment c'est déjà beau que Maurice pense à emmener ses cartouches, alors lui demander si il a de l'essence ! De toute manière il me répond :

- bah tu viens pas me chercher chez moi ? Au fait, t'as entendu cette histoire de sangliers égorgés qu'on a retrouvés hier au pied du champ du père Lacombe?
Un sacré numéro le Maurice, ses défauts font son charme. Pour déconner je lui dis :

- Oui, j'en ai entendu parler, parait que ce serais DAECH qui aurait fait le coup
Il me répond:
-Qui??!?
Je lui dis :
- Laisse tomber; prépare le casse croute, je passe te chercher.

Arrivé chez Maurice, c'est sa femme qui m'ouvre la porte !
Punaise, mais c'est qu'elle est en petite tenue la Maryse !

- Tu vas pas attraper froid Maryse comme ça ?
Elle me répond :
- ben non, mais au moins mon Maurice aura tiré un coup pour l'ouverture.

Elle est pragmatique l épouse de Maurice...

Sur ce fait mon compère arrive enfin, les bras chargés par son arme, ses munitions et surtout sa glacière de 50 litres !!!
Pas un mot échangé pendant qu’on charge son matériel dans mon coffre, nous voila dans la voiture prêts à partir....
Un tour de clefs et le moteur démarre bringuebalant, toussotant.
Oui, vous savez, ce genre de véhicule où il faut claquer les portes pour qu’elles ferment, qui sent le chien, quelques vielles cartouches dans les vides poches.
On va pas à la chasse en Porsche Cayenne non mais !!

Arrivés sur la zone de chasse les fusils sont sortis ainsi que les épagneuls, un premier arrêt au bord du chemin à 50 mètres de la voiture...
Je m'approche de Ficelle la femelle épagneul qui tient l'arrêt, je la caresse sur le bas du dos pour qu’elle avance, je fais signe à l'ami Maurice de se décaler à droite…en se décalant à droite ce bon vieux Maurice s'emmêle les pinceaux, son fusil ouvert tombe au sol, laissant s'échapper ces deux cartouches et c'est à ce moment là que j'aperçois un sanglier devant Ficelle toujours à l'arrêt face à ce bosquet. L'animal se lève et fonce sur ce bon vieux Maurice toujours les quatre fers en l'air......
Champion du monde de kick boxing ce bon vieux Maurice immobilise le sanglier furieux...

Le Maurice a beau gesticuler, à califourchon sur le sanglier .... Il ne cesse de m'interpeller et de me supplier de l'aider !
Je reste planté sans bouger, la vision de la belle Maryse plantée devant moi dans sa tenue légère me hante l'esprit et me laisse comme statufié !!!!!!!!!

Le sanglier en profite pour se dégager, et sans demander son reste disparaît de notre vue vers le massif boisé ....

Le Maurice ne s'avouant pas vaincu, relance la meute à la poursuite de l'animal.

Restant seul, avec mes pensées de Maryse, je me souviens de la dernière fois quand nous avions mangé de la Zwatschgawaija (tarte aux quetsches). J'avais les doigts qui collent parce qu'y a du jus qui a coulé dessus, je m'étais léché les doigts et déjà ça ne collait plus. Elle était là, assise à coté de moi, et tous les deux nous mangions de la Zwatschgawaija.

Ah, la Zwatschgawaija, la Zwatschgawaija, la Zwatschgawaija...ça sonnait comme une danse slave et je rêvais que nous dansions collés, Maryse, Maryse, Maryse, les bras de Maryse enlacés...mais c'est Maurice remis sur pieds qui me donne une claque sur l'épaule et je reviens à la réalité !
-Alors, tu rêves ou quoi ? On est pas là pour danser !

Ah, Maurice si tu savais...
Je revoyais encore Maryse, ses doigts plein de tarte, qui me regardais en léchant la dernière goutte et qui me lançais de sa voix suave des viens, viens, viens......

-VIENS vite, bougre d'âne, hurlait Maurice et change tes cartouches au lieu de rester planter là à rêvasser. ..

Malheureusement j'avais oublié de garnir ma cartouchière de mes deux brennekesaucasou !
Il ne me restait que deux solutions, taper sur la tête du suidé en me servent de mon Franchi superposé mais là encore bien dommage d'aller enfoncer des échardes de noyer grade deux sous la peau du sanglier, chevauché par notre talentueux Maurice Le Fougueux à la charmante épouse !
Heureusement, la deuxième solution comprenait mon fidèle opinel...

C'est à ce moment que l'on entend deux pets, un sagouin de chasseur de l'Acca voisine venait de fusiller ce put.. de sanglier qui nous avait tant tenu en haleine

Fou de rage Maurice me dit
-C'est ce co. de Marcel de la Cocudasse qui vient de nous faire cocus.
Je lui réponds
-Maurice on est plus vite cocus que ministres et on est sûr de garder la place plus longtemps…

Je regarde ma montre.
-Maurice c'est l'heure du pastis. Viens donc prendre un verre dans la glacière.
-Ok dit Maurice, un bon jaune fera bien l'affaire après toutes ces émotions... après faudra qu'on aille voir aux champs du père Lacombe, me semble bien que le Marcel il a tiré ces 2 coups là bas, va savoir ce Marcel s'il n'est pas impliqué dans l'affaire des sangliers égorgés, me semble un peu braco le coco...

-Pour l'instant sors les glaçons, j'ai besoin de me refroidir, tu sais c'est comme le chien de Gaston, des fois ça lui prend, il faut qu'il aille direct à la rivière, tu l'as déjà vu faire? ça vaut le coup !!!

-ouais j'ai vu me répond un Maurice plutôt préoccupé par le dosage de nos deux verres, pareil pour le 3ème et le 4ème...
-Bon mon ami, on se lève ? car le temps passé a siroter m'a paru tellement long que les bécasses auraient déjà eu le loisir de faire un aller retour Russie-France-Russie rien que pour voir si les températures étaient bonnes !!!
-à que non reste assis maintenant on attaque le casse croute, tu vas quand même gouter à ce salmis de palombes et ce pâté de sanglier que nous à préparé Maryse,mais bougre de cons on s'est pas arrêtés prendre le pain et la boulangère est chaude comme la braise…
Décidemment cette journée d'ouverture avait du mal a démarrer pour de vrai !

-Maurice lèves toi ! On aura rien à raconter à la maison ce soir si on reste ici
-Attends j'ai trouvé une baguette de pain dans le fond de la glacière, bon dieu on a 1 bouteille de pastaga,6 litres de rouge et deux packs de bière, qu'est qu'on va faire avec tout ce pain?
Pas le temps de se poser la question quand j'entends sonner dans ma poche.....
-Qu'est c'est donc y dit Maurice ??? Bon dieu c'est la Maryse qui appelle au secours.....
-Pointes toi vite bougre d'Ane, y'a le robinet de la cuisine qui fuit partout j'suis trempée....
-Tu devrais appeler Adrien, c'est un bon pêcheur, les problèmes d'eau ça le connait, il va te régler ça vite fait...
Malgré ce conseil bien prodigué, je ne pouvais m’empêcher de m'imaginer la Maryse trempée en petite tenue...
Pendant que tout ce beau monde tournait en rond à picoler, à rêvasser aux rondeurs de la Maryse et à s'occuper de ses fuites, sur l'ACCA voisine, le Marcel n'ayant pas perdu le nord, prenait soin de son sanglier avec la plus grande attention Nos deux compères furent interpellés par l'odeur qui venait de l'ACCA voisine et le Marcel s'étant absenté quelques minutes, ils en profitèrent pour lui faire une petite blague....
-Voilà le téléphone qui sonne, Maurice écoute donc c'est la Maryse:
-Plus la peine de venir, ce bon Marcel est venu à mon secours, plus de fuite d'eau, il examine et répare ma tuyauterie dans notre lit le cochon !!! Que je te disais Maurice au sujet du Marcel les cochons ne deviennent pas vieux mais les vieux deviennent de plus en plus cochons.
En raccrochant le téléphone, Maurice se dit:
-"eh ben....c'est quand même une drôle de journée ! "
-Bon, c'est bien beau tout ça, c'est jour d'ouverture ! On aura bien le temps de penser un autre jour aux petites culottes !!! Déjà que les cochons n'ont fait que çà pendant l'entre saison de chasse !!! C'est de l’élevage en plein air, les petites cochonnes n’arrêtent pas de tomber la culotte et les gros porcs de les saillir à tout va, faut pas s’étonner des dégâts… Sûr, faut surtout pas leur donner du Viagra à ces cochons là! Aller, on y va, sus aux sangliers !!!!
Les deux amis eurent tôt fait de ranger les gamelles et de se remettre en chasse, Maurice avec sa tête des mauvais jours, elle blaguait la Maryse ou quoi ?
Tout à coup, laissant Maurice à ses pensées et à ses doutes, les chiens prennent une piste ,
Jap, jap...jap, quand Ficelle jap comme ça, c'est sûr ça sent bon!!!
S'occuper des sangliers et de la Maryse en même temps, il ne faut pas rêver, tout le monde ne s'appelle pas Marcel!

S'occuper de la Maryse, Maryse, Maryse...
-Boum, boum, boum ! Mon Dieu, quel raffut !
ça y est, comme toutes les années c'est pareil, je me suis endormi trop tard cette nuit d'avant l'ouverture, un drôle de rêve, vite la robe de chambre, les escaliers, la porte...Oh putain Marcel!

- Alors ça fait une heure que je tape, les copains ça fait longtemps qu'ils sont aux pièces, qu'est ce que tu fous ?

Voilà pourquoi ça n'avait plus ni queue ni tête, un rêve, un simple rêve...mais Maryse qu'est ce qu'elle était belle...
- Maryse est dans la voiture, dépêches toi on va découpler les chiens aux adrets et toi tu postes à Janet, n'oublies pas ton gilet fluo couillon, t'es encore endormi ou quoi ?
Haaaa le Janet....... un poste de rêve !!!! une vue imprenable sur toute la chasse.
Et Maryse postée à son mirador d'où elle surveille une somptueuse clairière.
Un lieu mythique où l'on voit des grands animaux sortir de la forêt par les soirées d'automne.
Mon barda maintenant posé au sol, premier reflexe ; j'observe autour de moi ,
Je jumelle à droite, à gauche dans le calme le plus plat; la vallée est silencieuse...moi aussi.
Tout à coup, le temps se couvre, j'ai le poil qui s' hérisse...
lorsque j'entend la menée qui semble venir vers moi...Ca y est je ne rêve plus , la chasse est bien ouverte.
Ce sentiment que l'on connait tous commence a m'affoler le palpitant...
Marcel avait découplé les chiens dans le vallon, je savais Maryse aux aguets, au numéro 8 , le poste à coté du mien, un bon mirador où ça passe aussi . Moi je suis au dernier poste à Janet, je surveille le dernier vallon ou parfois les solitaires choisissent de sauter... Mais je n'entends plus les chiens, on dirait le calme avant la tempête, c'était encore trop loin, un contre ? la bête s'est forlongée ? c'est un solitaire ou ces chevreuils qui se tiennent en compagnie depuis l'hiver dernier ?
- Ahou, Ahou, Ahou !! les traqueurs !!! je perçois même le son plus aigu qui résonne d'un coup sec contre un arbre, et un autre encore, et un autre... soudain la menée reprend, puissante, les chiens n'aboient pas, ils hurlent, c'est toute la puissance de la meute, une marée animale aux abois, la forêt, la vallée, tout ce qui vit ne vibre plus que par cette clameur...
Le vieux solitaire se joue du relief, et sa connaissance du terrain lui permet de prendre une sérieuse avance sue la meute .....
Chaque posté retient son souffle, espérant à chaque instant que St Hubert va le gratifier de la vision du grand sanglier ....
Mais où est donc passé l'animal ? La meute semble être en défaut !

Mais j’entends 3 détonations particulières plus une quatrième différente, aucun doute c’est le k31 du Marcel qui vient de lâcher 3 balles et le 4è coup me confirme que Maryse a fait parler la .270win.
Je commence seulement à comprendre la situation, le solitaire aperçu n’était qu’une bête à la dérobe, devant lui un train de sangliers avait démarré depuis les petit bois de la grange aux truffes.
Je vois toutes ces bêtes qui me passent à une centaine de mètre, impossible pour moi de tirer. La harde file tout droit de nouveau chez les voisins, et de l’autre côté je vois les chasseurs s’empresser de se poster, soudain je vois le Mathieu s’arrêter net, son Lebel monte à l’épaule, baooummm, il vient de sécher le solitaire.

Je passe une bonne heure à couper les chiens avant de rentrer au chalet et retrouver les autres.

Le Marcel avait lâché au bon endroit, les sangliers étaient là, et au démarrage il en avait couché 3, la harde passant à 80 mètre de Maryse, par travers sur la clairière, elle a pu en aligner proprement un avec sa kipplauf, ah Maryse !... Quelle bonne tireuse !...
Et quel tableau!

Et chez les voisins, ils ont aussi un beau tableau, le Mathieu pas peu fier avec son keiler de 135kg vidé, séché net avec une balle 8mm Lebel.

Au fil de la soirée, le tableau ne cessait de s'amplifier

- C'est bien beau tout ça, mais pour gratter, vider, couper, notre pauvre boucher qui vient nous aider ne va pas suffire à lui tout seul, aller les gars, ça promet une belle soirée à rentrer à pas d'heure...!

Ah, le plaisir de la chasse aux gros c'est ça aussi, surtout que le Marcel il est strict, faut gratter, pas question d'enlever la peau comme les lapins, c'est meilleur avec la caouane pour les civets et les daubes, et là faut pas déroger.

On amène les 2 baignoires, l'eau bouillie et les sangliers l'un après l'autre là dedans, et après on les rase, c'est le plus long, faut voir la Maryse, c'est pas la dernière pour gratter les bestiaux, puis on coupe, on tranche les morceaux...

Mais bien sur, dans la forêt du Falkenstein, cela tirait de tous les cotés, plus de trente sangliers ont été vus, il pleuvait des pruneaux, un bon nombre d'animaux ont été tués. Mon vieux, quelle mémorable ouverture !

Marcel avait quand même réussi à tuer au ferme le Poney du Janet, ce qui lui avait valu toute l'attention de la Maryse, qui savait apprécier les vrais mâles...., pour sur que la Maryse, elle s'y connait avec les mâles…

Il y a eu encore et encore bon nombre de battues et nombre de sangliers aux tableaux, on se retrouvait contents d'être ensemble, heureux de partager ces moments de nature et le sourire que Maryse distribuait à chacun avec en prime, pour les tireurs chanceux, des embrassades chaleureuses qui nous faisait chaud au cœur.
L'équipe s'est agrandie, les chasseurs de plus en plus nombreux à nous rejoindre, grâce à une population bien gérée de petits cochons de plus en plus nombreux et aux attentions généreuses de la Maryse.




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Lun 3 Aoû 2015 - 11:16
Notre histoire commune - Page 3 1938 A refaire...
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Lun 3 Aoû 2015 - 12:35
Beau récit !!

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Lun 3 Aoû 2015 - 13:18
Bravo à tous les auteurs de cette belle histoire ! A refaire, super idée
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Lun 3 Aoû 2015 - 14:14
Oui, je pense, peut être après les vacances et les ouvertures, comme ça on aura pas mal de choses à partager et un peu tout et n'importe quoi ça peut faire aussi un truc pas mal... comme la soupe !

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