Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
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The King
IAS
Adrien
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Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Dim 26 Fév 2006 - 21:24
Salut,
Donc j’aimerais juste savoir votre avis sur les vêtements fluo (brassard, gilet, casquette, etc) si d’après vous sa gêne le passage du gibier au près du poster…. ??
Donc pour ma part :
Je pense que sa ne gêne en rien…c’est les mouvement qui gêne le plus je pense vraiment que le fluo a aucun rapport sur le comportement d’un gibier…J’ai vue des chevreuils me passer pratiquement a côter malgré le fluo…
Enfin faites nous partager vos avis…
@micalement,
Adrien
Donc j’aimerais juste savoir votre avis sur les vêtements fluo (brassard, gilet, casquette, etc) si d’après vous sa gêne le passage du gibier au près du poster…. ??
Donc pour ma part :
Je pense que sa ne gêne en rien…c’est les mouvement qui gêne le plus je pense vraiment que le fluo a aucun rapport sur le comportement d’un gibier…J’ai vue des chevreuils me passer pratiquement a côter malgré le fluo…
Enfin faites nous partager vos avis…
@micalement,
Adrien
- IASSanglier
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Re: Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Dim 26 Fév 2006 - 22:13
Une de mes connaissance technicien cynégétique de la FDC 67 utilise depuis cette saison une veste orange camo.
Il a constaté aucun changement dans le comportement du gibier.
Il observe que les chevreuils sont moins méfiant dans ce cas, dans les postes dégagés.
IAS
Il a constaté aucun changement dans le comportement du gibier.
Il observe que les chevreuils sont moins méfiant dans ce cas, dans les postes dégagés.
IAS
- The KingCerf3000 Messages
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...
Lun 27 Fév 2006 - 13:42
Aucun problème !
C'est de plus sécurisant !
Sinon , il reste une solution : le Camo-Fluo , mais un peu cher !
Ca dépend aussi de la chasse pratiquée ... Ca ne conviend pas au gibier d'eau ...
Amicalement.
C'est de plus sécurisant !
Sinon , il reste une solution : le Camo-Fluo , mais un peu cher !
Ca dépend aussi de la chasse pratiquée ... Ca ne conviend pas au gibier d'eau ...
Amicalement.
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Jm
"Fonctionner avec la fluidité d'une culasse de Mannlicher Schönauer et avec l'efficacité d'un extracteur de Mauser 98 !"
qdsqs
Sam 4 Mar 2006 - 15:34
Salut,
Pour répondre a cette question, sa été prouvée et se confirme sur le terrain si le poster ne bouge pas et ne fais aucun mouvement brusque il ne sera pas vu par le gibier
Amicalement
Pour répondre a cette question, sa été prouvée et se confirme sur le terrain si le poster ne bouge pas et ne fais aucun mouvement brusque il ne sera pas vu par le gibier
Amicalement
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LA chasse au sanglier au chien courant, ma plus grande passion!!
- IASSanglier
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Re: Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Dim 5 Mar 2006 - 15:16
A ce sujet quelques précisions glanées ici et la...
Bonne lecture ( à lire plusieurs fois )
_____________________________________________________________
La vision des animaux
Sommaire
B/ L'acuité visuelle ou résolution
C'est la distance minimale entre deux points de l'objet susceptibles de donner une image distincte et nette. Elle dépend bien sûr de la qualité de la réfraction, mais aussi de la densité rétinienne en photorécepteurs et du nombre de cellules rétiniennes connectées à chaque fibre du nerf optique.
Chez les animaux diurnes, l'acuité dépendra aussi de l'intensité lumineuse stimulante, mettant en jeu, lorsqu'elle est élevée un plus grand nombre de cônes.
La richesse cellulaire de la rétine en photorécepteurs n'est pas la même selon la zone topographique. Chez les espèces dont la rétine possède à la fois cônes et bâtonnets, les cônes sont plus nombreux au centre qu'à la périphérie. On peut en outre mettre en évidence des régions spéciales
- l'area centralis,
- la macula,
- la fovea.
L'area centralis est une zone médio-temporale de plus grande richesse cellulaire. Elle correspond à un épaississement rétinien parfois macroscopiquement visible sous l'aspect d'une tache plus foncée.
Il existe une area chez les sélaciens, les amphibiens, quelques sauriens tel l'alligator et chez les carnivores, chiens et chats; chez les ruminants, elle a une disposition horizontale allongée qui la fait qualifier de striaeformis.
La macula est une zone avasculaire de plus grande richesse en cônes. Elle existe chez les primates, macroscopiquement visible à l'examen du fond d'oeil.
La fovea, uniquement constituée de cônes, présente en outre un amincissement dû à la raréfaction ou à la disparition de certaines couches rétiniennes .
Chez les téléostéens la fovea est rudimentaire et constituée de cellules amincies, sans raréfaction d'une couche rétinienne.
Chez les lacertiliens, existe tantôt une area tantôt une fovea, comme chez le caméléon.
Les oiseaux de basse-cour n'ont qu'une area, en revanche ; les rapaces ont deux foeva : une fovea centrale et une latérale. « Dans la fovea centrale, seule la couche des cellules ganglionnaires fait défaut celle des grains externes et internes s'amincissent seulement » (Rochon-Duvigneaud). Le bouquet central de cônes est beaucoup plus large, 1 500 cônes contre 200 chez l'homme.
L'acuité des oiseaux de proie est de loin la plus développée. Elle serait 7 à 8 fois supérieure à celle de l'homme.
C/ La perception des couleurs
La perception des couleurs est liée à la présence dans la rétine de cônes sensibles au vert, au bleu et au jaune. L'étude de la vision des couleurs par l'animal fait appel à des techniques de modification comportementale et à des analyses spectrophotométriques de rayonnement absorbé par la rétine.
Sans pouvoir dire que l'unanimité soit faite, il semblerait qu'une majorité d'auteurs admettent les éléments suivants:
On ne sait pratiquement rien sur la vision des couleurs par les cyclostomes (lamproies).
La rétine des téléostéens perçoit la couleur : rouge, jaune, vert, bleu, violet et ultra-violet jusqu'à 365 nm.
Les amphibiens ont une bonne vision des couleurs, avec un maximum de perception pour le jaune en photopique et pour le vert en scotopique.
Chez les reptiles : la tortue différencie le bleu, le vert et l'orange ; le lézard différencie le jaune, le rouge, le vert et le bleu.
Les oiseaux ont un sens de la couleur très développé ; cela paraît logique eu égard à la richesse des coloris de leur plumage, laquelle n'a d'égale que la diversité chromatique des poissons.
L'oiseau règle son comportement sur la couleur beaucoup plus que sur la luminosité ou sur la forme.
La vision des couleurs par les mammifères est très discutée. Elle est certes associée au caractère diurne de l'animal. On admet que la musaraigne, l'écureuil sont parfaitement trichromates. Il semblerait que les bovins ne les distingueraient pas, ce qui ferait douter de l'efficacité de la muleta rouge au cours des corridas. Sur la capacité du chien, les avis sont très partagés ; quant au chat, on sait aujourd'hui qu'il est dichromate : l'étude histologique de sa rétine a montré qu'elle renfermait deux sortes de cônes, les uns sensibles au bleu indigo 450 nm, les autres à jaune-vert 556 nm. Dans les corps genouillés latéraux, certains neurones ont un maximum de sensibilité à 500 nm en basse luminance et 556 nm en forte luminance. Le chat ne peut donc distinguer en-dessous de 540 nm. Il lui est donc impossible de distinguer le rouge.
D/ La perception du mouvement
Elle est très importante pour l'animal aussi bien pour l'exercice de la vigilance que pour la chasse d'une proie.
Elle dépend de deux facteurs:
- La qualité de la mosaïque rétinienne, c'est-à-dire la richesse de la rétine en photorécepteurs.
Quand les éléments rétiniens sont peu nombreux, la portion de rétine correspondant à une seule fibre du nerf optique est grande ; une image doit traverser une distance considérable avant d'exciter les éléments sensoriels associés à une autre fibre, de telle sorte qu'un petit mouvement risque de ne pas être apprécié.
- La persistance dans le temps de la vision.
En effet, si la stimulation persiste longtemps, un élément rétinien une fois stimulé ne peut réagir rapidement à un nouveau stimulus.
Le temps de persistance peut être étudié par la méthode du flicker avec enregistrement de l'E.R.G. La stimulation est faite à l'aide d'éclairs de plus en plus rapprochés jusqu'au moment où il n'y a plus de réponse rétinienne. La fréquence de stimula tion est dite alors fréquence de fusion ou F.F.F. (Flicker Fréquence de Fusion).
Chez la plupart des animaux, c'est surtout le haut niveau de la F.F.F. qui conditionne le haut degré de sensibilité au mouvement. les espèces qui se nourrissent de proies vivantes peuvent mourir de faim à côté de proies mortes. Les batraciens attrapent la nourriture qui bouge. De très nombreux animaux sauvages agissent exactement de la même façon.
E/ La perception de l'espace
Elle consiste à apprécier l'espace et à l'intérieur de celui-ci la localisation des différents objets.
Cette perception peut se subdiviser en
- perception bidimensionnelle qui apprécie la position de l'objet, sa distance bidimensionnelle ;
-perception tridimensionnelle : perception de la profondeur qui exige une vision stéréoscopique binoculaire, extension de cette faculté à l'appréciation de la forme.
Dans cette perception de l'espace interviennent :
· le champ visuel monoculaire,
· le champ visuel binoculaire,
. les mouvements des globes oculaires,
. les mouvements de la tête.
Le champ visuel monoculaire varie peu chez les vertébrés. Sa valeur moyenne est de 170°. Il dépend essentiellement de trois facteurs :
- l'extension de la surface rétinienne
- l'incurvation de la surface admettant la lumière ;
- l'ouverture pupillaire effective.
D'après Duke-Elder, le large champ visuel du cheval est dû à l'extension de la rétine du côté nasal, alors que chez beaucoup d'oiseaux et chez les poissons de grande profondeur, la faible extension restreint ce même champ.
La cornée de l'homme représente un arc de 60 degrés et le champ est de 150 degrés ; chez le chat, la cornée est un arc de 170 degrés et le champ a 200 degrés.
L'ouverture pupillaire horizontale des équidés contribue également à élargir le champ visuel.
Le champ visuel binoculaire dépend essentiellement de la position des yeux:
-la position frontale élargit la vision binoculaire.
- la position latérale la restreint.
Les mouvements oculaires sont soit réflexes , soit volontaires et, dans ce dernier cas, les mouvements binoculaires peuvent être coordonnés ou non.
Chez tous les vertébrés autres que les mammifères, les mouvements oculaires volontaires sont toujours incoordonnés.
Enfin, il faut noter que chez les espèces à yeux peu mobiles, la flexuosité du cou compense très avantageusement ce handicap .
A l'issue de cette brève étude, on ne peut que souligner, malgré l'étendue des connaissances, le nombre des points qui demeurent obscurs. Pourquoi, peut-on répéter encore, tant de variété pour un même but ? La réponse est sans doute plus du domaine de la philosophie que de la médecine. Plus strictement scientifique est l'application à un plus grand nombre d'espèces des méthodes modernes d'investigation concernant en particulier la réfraction statique et la vision des couleurs.
Un secteur demeure cependant difficile à explorer à l'échelon individuel, c'est le champ visuel de l'animal vivant.
Parviendrons-nous unjour à faire une étude objective de ce champ ?
Il y a encore de beaux travaux à réaliser ; il est bon de ne pas en perdre la vision!
Bonne lecture ( à lire plusieurs fois )
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La vision des animaux
Sommaire
B/ L'acuité visuelle ou résolution
C'est la distance minimale entre deux points de l'objet susceptibles de donner une image distincte et nette. Elle dépend bien sûr de la qualité de la réfraction, mais aussi de la densité rétinienne en photorécepteurs et du nombre de cellules rétiniennes connectées à chaque fibre du nerf optique.
Chez les animaux diurnes, l'acuité dépendra aussi de l'intensité lumineuse stimulante, mettant en jeu, lorsqu'elle est élevée un plus grand nombre de cônes.
La richesse cellulaire de la rétine en photorécepteurs n'est pas la même selon la zone topographique. Chez les espèces dont la rétine possède à la fois cônes et bâtonnets, les cônes sont plus nombreux au centre qu'à la périphérie. On peut en outre mettre en évidence des régions spéciales
- l'area centralis,
- la macula,
- la fovea.
L'area centralis est une zone médio-temporale de plus grande richesse cellulaire. Elle correspond à un épaississement rétinien parfois macroscopiquement visible sous l'aspect d'une tache plus foncée.
Il existe une area chez les sélaciens, les amphibiens, quelques sauriens tel l'alligator et chez les carnivores, chiens et chats; chez les ruminants, elle a une disposition horizontale allongée qui la fait qualifier de striaeformis.
La macula est une zone avasculaire de plus grande richesse en cônes. Elle existe chez les primates, macroscopiquement visible à l'examen du fond d'oeil.
La fovea, uniquement constituée de cônes, présente en outre un amincissement dû à la raréfaction ou à la disparition de certaines couches rétiniennes .
Chez les téléostéens la fovea est rudimentaire et constituée de cellules amincies, sans raréfaction d'une couche rétinienne.
Chez les lacertiliens, existe tantôt une area tantôt une fovea, comme chez le caméléon.
Les oiseaux de basse-cour n'ont qu'une area, en revanche ; les rapaces ont deux foeva : une fovea centrale et une latérale. « Dans la fovea centrale, seule la couche des cellules ganglionnaires fait défaut celle des grains externes et internes s'amincissent seulement » (Rochon-Duvigneaud). Le bouquet central de cônes est beaucoup plus large, 1 500 cônes contre 200 chez l'homme.
L'acuité des oiseaux de proie est de loin la plus développée. Elle serait 7 à 8 fois supérieure à celle de l'homme.
C/ La perception des couleurs
La perception des couleurs est liée à la présence dans la rétine de cônes sensibles au vert, au bleu et au jaune. L'étude de la vision des couleurs par l'animal fait appel à des techniques de modification comportementale et à des analyses spectrophotométriques de rayonnement absorbé par la rétine.
Sans pouvoir dire que l'unanimité soit faite, il semblerait qu'une majorité d'auteurs admettent les éléments suivants:
On ne sait pratiquement rien sur la vision des couleurs par les cyclostomes (lamproies).
La rétine des téléostéens perçoit la couleur : rouge, jaune, vert, bleu, violet et ultra-violet jusqu'à 365 nm.
Les amphibiens ont une bonne vision des couleurs, avec un maximum de perception pour le jaune en photopique et pour le vert en scotopique.
Chez les reptiles : la tortue différencie le bleu, le vert et l'orange ; le lézard différencie le jaune, le rouge, le vert et le bleu.
Les oiseaux ont un sens de la couleur très développé ; cela paraît logique eu égard à la richesse des coloris de leur plumage, laquelle n'a d'égale que la diversité chromatique des poissons.
L'oiseau règle son comportement sur la couleur beaucoup plus que sur la luminosité ou sur la forme.
La vision des couleurs par les mammifères est très discutée. Elle est certes associée au caractère diurne de l'animal. On admet que la musaraigne, l'écureuil sont parfaitement trichromates. Il semblerait que les bovins ne les distingueraient pas, ce qui ferait douter de l'efficacité de la muleta rouge au cours des corridas. Sur la capacité du chien, les avis sont très partagés ; quant au chat, on sait aujourd'hui qu'il est dichromate : l'étude histologique de sa rétine a montré qu'elle renfermait deux sortes de cônes, les uns sensibles au bleu indigo 450 nm, les autres à jaune-vert 556 nm. Dans les corps genouillés latéraux, certains neurones ont un maximum de sensibilité à 500 nm en basse luminance et 556 nm en forte luminance. Le chat ne peut donc distinguer en-dessous de 540 nm. Il lui est donc impossible de distinguer le rouge.
D/ La perception du mouvement
Elle est très importante pour l'animal aussi bien pour l'exercice de la vigilance que pour la chasse d'une proie.
Elle dépend de deux facteurs:
- La qualité de la mosaïque rétinienne, c'est-à-dire la richesse de la rétine en photorécepteurs.
Quand les éléments rétiniens sont peu nombreux, la portion de rétine correspondant à une seule fibre du nerf optique est grande ; une image doit traverser une distance considérable avant d'exciter les éléments sensoriels associés à une autre fibre, de telle sorte qu'un petit mouvement risque de ne pas être apprécié.
- La persistance dans le temps de la vision.
En effet, si la stimulation persiste longtemps, un élément rétinien une fois stimulé ne peut réagir rapidement à un nouveau stimulus.
Le temps de persistance peut être étudié par la méthode du flicker avec enregistrement de l'E.R.G. La stimulation est faite à l'aide d'éclairs de plus en plus rapprochés jusqu'au moment où il n'y a plus de réponse rétinienne. La fréquence de stimula tion est dite alors fréquence de fusion ou F.F.F. (Flicker Fréquence de Fusion).
Chez la plupart des animaux, c'est surtout le haut niveau de la F.F.F. qui conditionne le haut degré de sensibilité au mouvement. les espèces qui se nourrissent de proies vivantes peuvent mourir de faim à côté de proies mortes. Les batraciens attrapent la nourriture qui bouge. De très nombreux animaux sauvages agissent exactement de la même façon.
E/ La perception de l'espace
Elle consiste à apprécier l'espace et à l'intérieur de celui-ci la localisation des différents objets.
Cette perception peut se subdiviser en
- perception bidimensionnelle qui apprécie la position de l'objet, sa distance bidimensionnelle ;
-perception tridimensionnelle : perception de la profondeur qui exige une vision stéréoscopique binoculaire, extension de cette faculté à l'appréciation de la forme.
Dans cette perception de l'espace interviennent :
· le champ visuel monoculaire,
· le champ visuel binoculaire,
. les mouvements des globes oculaires,
. les mouvements de la tête.
Le champ visuel monoculaire varie peu chez les vertébrés. Sa valeur moyenne est de 170°. Il dépend essentiellement de trois facteurs :
- l'extension de la surface rétinienne
- l'incurvation de la surface admettant la lumière ;
- l'ouverture pupillaire effective.
D'après Duke-Elder, le large champ visuel du cheval est dû à l'extension de la rétine du côté nasal, alors que chez beaucoup d'oiseaux et chez les poissons de grande profondeur, la faible extension restreint ce même champ.
La cornée de l'homme représente un arc de 60 degrés et le champ est de 150 degrés ; chez le chat, la cornée est un arc de 170 degrés et le champ a 200 degrés.
L'ouverture pupillaire horizontale des équidés contribue également à élargir le champ visuel.
Le champ visuel binoculaire dépend essentiellement de la position des yeux:
-la position frontale élargit la vision binoculaire.
- la position latérale la restreint.
Les mouvements oculaires sont soit réflexes , soit volontaires et, dans ce dernier cas, les mouvements binoculaires peuvent être coordonnés ou non.
Chez tous les vertébrés autres que les mammifères, les mouvements oculaires volontaires sont toujours incoordonnés.
Enfin, il faut noter que chez les espèces à yeux peu mobiles, la flexuosité du cou compense très avantageusement ce handicap .
A l'issue de cette brève étude, on ne peut que souligner, malgré l'étendue des connaissances, le nombre des points qui demeurent obscurs. Pourquoi, peut-on répéter encore, tant de variété pour un même but ? La réponse est sans doute plus du domaine de la philosophie que de la médecine. Plus strictement scientifique est l'application à un plus grand nombre d'espèces des méthodes modernes d'investigation concernant en particulier la réfraction statique et la vision des couleurs.
Un secteur demeure cependant difficile à explorer à l'échelon individuel, c'est le champ visuel de l'animal vivant.
Parviendrons-nous unjour à faire une étude objective de ce champ ?
Il y a encore de beaux travaux à réaliser ; il est bon de ne pas en perdre la vision!
- bambiCerf1000 Messages
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Re: Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Dim 5 Mar 2006 - 17:12
Youhou,
ben j'ai eu la fleme de tout lire!!!!
Moije suis pour le fluo en battue, quand on voit qu'il y a de gars qui se deplassent n'importe quand n'importe comment.......
Si on ne bouge pas le gibier ne nous voie pas trop, et puis après tout il a bienle droit de nous voir c'est plus dur pour nous et alors???Quand on voit la portée des armes actuelles....
Pour moi c'est POUR POUR POUR!
ben j'ai eu la fleme de tout lire!!!!
Moije suis pour le fluo en battue, quand on voit qu'il y a de gars qui se deplassent n'importe quand n'importe comment.......
Si on ne bouge pas le gibier ne nous voie pas trop, et puis après tout il a bienle droit de nous voir c'est plus dur pour nous et alors???Quand on voit la portée des armes actuelles....
Pour moi c'est POUR POUR POUR!
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chasse peche nature amour
voila de bonnes raisons de vivre
Re: Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Dim 5 Mar 2006 - 23:03
Salut,
Pour ma part je l'ai lu deux fois mais je n'est pas tout compris....
Mais une chose est sur sa vaut quand même le coup d'être lu....Y a des mots quand même compliquer....mais bon après une petite recherche s'est compréhensible.....Rien que pour les oiseaux de proie de 7 a 8 fois supérieur a la vision de l'homme c'est quand hallucinant...
Moi je dit vivement qu’il en savant plus…
Enfin merci IAS ton message...
@micalement,
Adrien
Pour ma part je l'ai lu deux fois mais je n'est pas tout compris....
Mais une chose est sur sa vaut quand même le coup d'être lu....Y a des mots quand même compliquer....mais bon après une petite recherche s'est compréhensible.....Rien que pour les oiseaux de proie de 7 a 8 fois supérieur a la vision de l'homme c'est quand hallucinant...
Moi je dit vivement qu’il en savant plus…
Enfin merci IAS ton message...
@micalement,
Adrien
- gxa68Cerf10 000 Messages
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fluo pour les battues
Sam 11 Mar 2006 - 14:16
Merci IAS pour cet exposé et bravo.j'aimerais que tu m'expliques le cas de la becasse
visin monoculaire réputée de grande amplitude mais sans doute vision binoculaire plus faible compte tenu de la position des yeux:comment fait-elle pour apprécier les distances des obstacles en sous-bois à la vitesse ou elle vole.
P.S si tu travailles toujours,j'espère que tes rendez-vous sont à moins de six mois contrairement à tes confrères.
Amicalement
visin monoculaire réputée de grande amplitude mais sans doute vision binoculaire plus faible compte tenu de la position des yeux:comment fait-elle pour apprécier les distances des obstacles en sous-bois à la vitesse ou elle vole.
P.S si tu travailles toujours,j'espère que tes rendez-vous sont à moins de six mois contrairement à tes confrères.
Amicalement
- JP2Cerf3000 Messages
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Date d'inscription : 30/10/2005
Re: Le fluo pour les battues gênant ou pas gênant??
Sam 11 Mar 2006 - 17:10
Bonjour à tous,
Plus que les couleurs, ce sont les mouvements qui attirent l'attention du gibier. Depuis plus de 5 ans nous utilisons des gilets fluos en battue et nous n'avons pas constaté plus de difficultés à l'approche des grands animaux. De toute façon, maintenant la question ne se pose plus c'est devenu obligatoire.
Amicalement, JP2
Plus que les couleurs, ce sont les mouvements qui attirent l'attention du gibier. Depuis plus de 5 ans nous utilisons des gilets fluos en battue et nous n'avons pas constaté plus de difficultés à l'approche des grands animaux. De toute façon, maintenant la question ne se pose plus c'est devenu obligatoire.
Amicalement, JP2
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